Les rassemblements religieux suspendus dans les zones épidémiques

Suspension des rassemblements religieux dans les zones touchées par l’épidémie

Les lieux de culte dans la ville de Chi Linh (province de Hai Duong) et à Dong Trieu (province de Quang Ninh) doivent suspendre tous les rassemblements religieux de nombreuses de personnes.
Suspension des rassemblements religieux dans les zones touchées par l’épidémie ảnh 1Un temple désert à cause du coronavirus. Photo d'illustration : VNA

Hanoï (VNA) – Leslieux de culte dans la ville de Chi Linh (province de Hai Duong) et à DongTrieu (province de Quang Ninh) doivent suspendre tous les rassemblementsreligieux de nombreuses de personnes. Le port du masque est obligatoire dansces lieux de culte.

Dans un documentpublié le 29 janvier, le ministère de l’Intérieur a indiqué qu’au Vietnam, du27 janvier au 29 janvier à 06h00, 87 cas de transmission intracommunautaire ducoronavirus avaient été détectés. A l’approche du Nouvel An lunaire, plusieursévénements sont prévus dans les lieux de culte, réunissant nombre de personnes.

Devant cettesituation, le ministère de l’Intérieur a demandé aux lieux de culte à Chi Linhet Dong Trieu d’appliquer strictement la directive 16/CT-TTg du Premierministre sur les mesures d’urgence pour prévenir et contrôler le COVID-19, pendant21 jours, depuis le 28 janvier à partir de 12h00. Les religieux, lesdignitaires, les subordonnés, ne quittent leur domicile, leurs lieux de culte qu’encas de nécessité absolue (se ravitailler en nourriture et en médicaments etd'autres urgences). Il est impératif d’assurer une distanciation physique de 2mètres dans les lieux de culte. -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.