Le PNUD appuie la réforme administrative à Bac Giang

Le projet de renforcement des effets de la réforme administrative dans la province de Bac Giang (Nord) financé par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), a été officiellement lancé lundi.
Le projet de renforcementdes effets de la réforme administrative dans la province de Bac Giang(Nord) financé par le Programme des Nations unies pour le développement(PNUD), a été officiellement lancé lundi.

Ceprojet, doté d’un budget total près de 1, 40 million de dollars, dont1,15 million de dollars d’aide publique au développement, est programméd’octobre 2012 à la fin décembre 2016.

Depuis desannées, la réforme administrative passe toujours au premier plan dansl’ordre des priorités de Bac Giang qui s’emploie à améliorer soncadre institutionnel et les compétences de ses cadres et fonctionnairesen vue de meilleurs services publics et d’ un meilleur environnementd’affaires .

De janvier à la mi-octobre dernier, laprovince de Bac Giang a drainé 921 millions de dollars d’investissementdirect étranger. Elle s'efforce d’attirer 2,5 milliards de dollars decapitaux étrangers d'ici 2020. – AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.