Le Kazakhstan approuve un accord d'exemption de visa avec le Vietnam

Le gouvernement kazakh a approuvé un accord d'exemption de visa entre le Kazakhstan et le Vietnam. La décision est incluse dans un décret publié le 13 juin et a pris effet immédiatement.
Le Kazakhstan approuve un accord d'exemption de visa avec le Vietnam ảnh 1Photo d'illustration. Source: Bnews

Hanoi (VNA) - Le gouvernement kazakh a approuvé un accordd'exemption de visa entre le Kazakhstan et le Vietnam. La décision est incluse dans un décret publié le 13 juin et apris effet immédiatement.

L'accord stipule que les citoyens kazakhs et les citoyens vietnamienstitulaires d'un passeport valable au moins six mois seront exemptés del'obligation de visa pour entrer, sortir, transiter et séjourner temporairementau Vietnam et au Kazakhstan pendant un maximum de 30 jours à compter de la dated'entrée. La durée de leur séjour ne doit pas dépasser 90 jours pour une période detrois mois.

Ils devront demanderun visa s'ils veulent rester plus longtemps.

La signature de l'accord devrait contribuer à renforcer les relations entreles deux pays. -VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.