La province de Dak Lak (Hauts Plateaux duCentre) a reçu un montant de plus de 18 milliards de dongs desgouvernements du groupe de quatre pays (groupe G4) afin de réalisercinq projets de développement socioéconomique pour les personnes ensituation particulièrement difficile.
C'est ce qu'a annoncé mercredi le vice-président permanent du Comitépopulaire de la province, Y Dham E Nuol, lors d'une séance de travailavec une délégation de haut rang des envoyés spéciaux des ambassades dugroupe G4 comprenant la Nouvelle Zélande, le Canada, la Norvège et laSuisse.
Les représentants des ambassades de ce groupeont hautement apprécié la coopération des autorités et des organescompétents de la province dans la réalisation efficace des projetsqu'ils ont financés. Ces projets visent à mettre l'accent surl'assistance aux personnes en situation particulièrement difficile, enleur donnant des moyens de production pour qu'ils puissent mieuxs'intégrer dans la société et bénéficier d'une vie stable à long terme.
Les projets réalisés dans cette localité, dont celuid'élévation des revenus des handicapés, d'assistance des sinistrés descrues, de développement de l'économie familiale pour des femmesdémunies issues des minorités ethniques, etc., ont apporté beaucoup auxbénéficiaires, leur permettant d'améliorer leur niveau de vie et demieux s'intégrer dans la société.
Dans les temps quiviennent, le groupe G4 poursuivra son aide financière en faveur de laprovince de Dak Lak dans la mise en oeuvre d'autres projets dedéveloppement, dont ceux d'assistance juridique pour les habitants desrégions lointaines et reculées de la province, ont fait savoir lesreprésentants de la délégation. -AVI
Plus de grands-parents, moins de petits-enfants : un défi majeur pour le Vietnam
Le Vietnam compte désormais 16,1 millions de personnes âgées, soit plus de 16% de la population, mais surtout… un rythme de vieillissement parmi les plus rapides du monde. Cette mutation s’accompagne d’une chute persistante du taux de fécondité. Les projections tablent sur 1,63 enfant par femme en 2050, et seulement 1,38 en 2100 - bien loin du seuil de remplacement de 2,1.