Cet évènement, qui aattiré 260 scientifiques, décideurs politiques, étudiants régionaux etinternationaux, visait à accélérer les dialogues entre les partiesconcernées dans leurs efforts pour réduire les émissions de gaz à effetde serre et renforcer les capacités d'adaptation au changementclimatique.
Dans son discours d'ouverture, le ministresingapourien de l'Environnement et des Ressources en eau, VivianBalakrishnan, a estimé que l'Asie du Sud-Est était une des régions lesplus touchées par le changement climatique. Il a souligné la nécessitéde mettre à jour les informations sur ce phénomène et ses influences surles moyens de subsistance des habitants locaux ainsi que sur lasécurité de la région.
Lors du séminaire, lesparticipants ont estimé que le changement climatique pouvait ouvrir desopportunités aux technologies solaires.
Créé en 1988 parl’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des NationsUnies pour l’environnement (PNUE), le GIEC a pour mission d’évaluer lesinformations d’ordre scientifique, technique et socio-économique pourmieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés auchangement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément lesconséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuellesstratégies d’adaptation et d’atténuation.
A ce jour, le GIEC a publié quatre rapports. Le 5e est prévu en octobre prochain. -VNA