Le bilan de l’incendie du salon de karaoké à Binh Duong s’alourdit à 33 morts

Au moins, 33 personnes ont péri dans l’incendie qui s’est déclaré vers 20h48 mardi 6 septembre dans le salon de karaoké du quartier de An Phu, dans la ville de Thuân An, a fait savoir la police.
Binh Duong(VNA) – Au moins, 33 personnes ont péri dans l’incendie qui s’est déclaré vers20h48 mardi 6 septembre dans le salon de karaoké du quartier de An Phu, dans laville de Thuân An, a fait savoir mercredi 7 septembre la Police de la provincede Binh Duong (Sud).
Le bilan de l’incendie du salon de karaoké à Binh Duong s’alourdit à 33 morts ảnh 1L'équipe de briseurs de murs de Hô Chi Minh-Ville vient en renfort sur le lieu du drame. Photo : VNA

Les pompiers ont découvert32 corps sans vie sur le lieu du drame, parmi lesquels 16 femmes et 16 hommes, a-t-elleprécisé.

L’incendie a également fait 17 blessés,dont 15 ont quitté l’hôpital après avoir subi des soins et une consultationgénérale. Deux autres grièvement blessés se trouvaient en soins critiques dontune victime a succombé à ses blessures, a-t-elle fait savoir.

Selon un rapport présenté à l’Office dugouvernement par le Comité populaire provincial, un court-circuit électriqueétait à l’origine de cet incendie du salon de karaoké de trois étages sur plusde 1.500 mètres carrés. Plus de détails seront communiqués jeudi 8 septembre àla presse.

Le président Nguyên Xuân Phuc a exprimémercredi 7 septembre ses plus sincères condoléances aux familles des victimesde l’incendie. Il a demandé aux autorités locales de venir en aide aux famillesdes victimes et de remédier aux conséquences de l’incendie et d’en idenfitierrapidement la cause. – VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.