“La vérité pour assainir l’eau de la mer Orientale”
Le but est de rejeter l’argument erroné de l’ambassadrice chinoise en Belgique et en Union européenne Yang Yanyi.
Selon l’ambassadeur Pham Sanh Chau, le Vietnam possède suffisamment de
preuves juridiques et historiques sur l’établissement et l’exécution
par l’État vietnamien de la souveraineté sur l’archipel de Hoàng Sa, au
moins depuis le 17e siècle.
Cela a été clairement
indiqué dans des documents historiques officiels du Vietnam et d’autres
pays. De son côté, la Chine ne peut avancer aucune preuve justifiant son
établissement et son exécution de la souveraineté sur cet archipel dans
l’histoire.
L’ambassadeur Pham Sanh Châu a
également souligné que, pour prouver au monde sa bonne volonté de
«redonner la paix» à la Mer Orientale et que ses paroles soient toujours
en conséquence avec ses actes, la Chine devrait mettre fin
immédiatement aux violations de la souveraineté et des droits de
souveraineté et de juridiction des pays voisins, observer strictement le
droit international, a fortiori la Convention des Nations unies sur le
droit de la mer de 1982, ne plus reproduire l’implantation des
plates-formes de forage escortées par des bateaux dans la zone
économique exclusive et sur le plateau continental du Vietnam. - VNA