Les accusés sont Runh, né en 1979, domicilié dans le village de KretKrot, commune de Hra du district de Mang Yang, province de Gia Lai ; AHyum, né en 1940, domicilié dans le village de Kon Ko Long, commune deDak To Re, district de Kon Ray, province de Kon Tum ; A Tach, né en1959, domicilié dans le village Kon Hram, commune de Dak To Re, districtde Kon Ray (Kon Tum) ; Jonh, né en 1952, et Byuk, né en 1945,domiciliés dans le village de Kret Krot, commune de Hra, district de MangYang (Gia Lai) ; Dinh Hron, né en 1981, et Dinh Lu, né en 1976,domiciliés dans le village de Kuk Kong, commune de An Thanh, district deDak Po (Gia Lai) ; Y Gyin, né en 1942, domicilié dans le village de KtuHo Moong, commune de Ho Moong, district de Sa Thay (Kon Tum).
Le tribunal a condamné A Tach à une peine d'emprisonnement de 11 ans,Runh, à 10 ans, Jonh, à 9 ans, A Hyum et Byuk, à 8 ans, Dinh Lu et DinhHron, à 7 ans, et Y Gyin, à 3 ans.
Selon l'acted'accusation, depuis 2002, Y Gyin a semé de faux bruits sur l'apparitionde la mère Pluk à Ha Mon afin de conduire la population locale à luttercontre les autorités de Kon Tum.
En vue de créer unenouvelle religion pour les ethnies minoritaires du Tay Nguyen, Y Gyin aétabli un comité de travail chargé de la publication d'articles afind'inciter la population à se dresser contre l'Etat et de détruire lebloc de grande union nationale. Durant plus de dix ans, Y Gyin et sescoauteurs ont ainsi créé 63 paroisses réunissant des milliers demembres.
En 2008, A Huyn, a communiqué avec Joan A,membre du FULRO, une organisation réactionnaire en exil aux Etats-Unis,pour trouver de l'aide. A Tach, A Huym et Y Gyin se sont rendusplusieurs fois à Gia Lai pour faire de la propogande contre l'Etat etcréer des branches du FULRO dans plusieurs provinces du Tay Nguyen.
Les populations des provinces de Gia Lai et de Kon Tum agréentpleinement le verdict prononcé par le tribunal populaire de Gia Lai .-VNA
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).