Expériences japonaises sur la responsabilité sociale des entreprises

L'Institut central de gestion économique (CIEM) a organisé mardi à Hanoi un colloque afin de partager des expériences japonaises sur la mise en œuvre de la responsabilité sociale des entreprises.
L'Institut central degestion économique (CIEM) a organisé mardi à Hanoi un colloque afin departager des expériences japonaises sur la mise en œuvre de laresponsabilité sociale des entreprises.

Selon M. YoshiroKudo, vice-président et directeur exécutif du Conseil d'innovation dela vie du Japon, les entreprises sont prêtes à contribuer audéveloppement économique sur la base de l'égalité, de l'intérêtréciproque et de l'amitié entre le Japon et le Vietnam, ainsi qu'àl'édification d'une économie de marché saine en Asie et dans le monde.

La responsabilité sociale des entreprises japonaisess'oriente vers le développement durable des autres entreprises et de lapopulation.

Pour développer le marché, les entreprisesdoivent rechercher le profit dans tous les secteurs rentables, même lesecteur public. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.