Enquête sur la situation socioéconomique des 53 ethnies minoritaires

Le Premier ministre a pris une décision 02/QD-TTg approuvant le Projet d'enquête et de collecte d'informations sur la situation actuelle du développement socioéconomique des 53 ethnies minoritaires.

Le Premier ministre apris une décision 02/QD-TTg approuvant le Projet d'enquête et decollecte d'informations sur la situation actuelle du développementsocioéconomique des 53 ethnies minoritaires.

Le projet apour but de créer un système d'informations et de données sur lesethnies minoritaires au service de l'administration publique en matièrede nationalité et d'emploi.

Les questionnaires porterontsur les populations et la répartition démographique, lesinfrastructures, l'économie, la pauvreté, le bien-être social, laculture et la société, l'éducation et la formation, le développement desressources humaines, la santé, l'environnement, la religion, lasécurité...

L'enquête sera menée tous les cinq ans, lapremière étant prévue pour le premier trimestre 2015, sous lasupervision du Comité de la nationalité. Le Département général desStatistiques, en coopération avec les ministères et secteurs concernés,déterminera les critères des enquêtes. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.