C'est ce qu'a déclaré Tran Dac Phu, chef du Département de médecine préventive du ministère vietnamien de la Santé.
Pour faire face à cette situation, le ministère de la Santé confirme lemême niveau d'alerte, renforce la surveillance aux postes frontalierset la communication tout en améliorant les laboratoires.
Auparavant, le Centre des opérations d'urgence (EOC) du ministère de laSanté a organisé une réunion avec la participation d'experts de l'OMS,des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC),et de l'Organisation des Nations Unies pour l’alimentation etl’agriculture (FAO).
Selon un représentant de CDC, aucunepreuve scientifique ne démontre un changement de mode de transmissiondu virus d'homme à homme ou d'animal à homme, notamment par voierespiratoire.
Les experts ont estimé que Ebola pourraitpénétrer au Vietnam en raison de l'entrée des travailleurs et desvisiteurs en provenance des zones épidémiques.
Le Vietnamdoit donc partiquer une surveillance stricte aux postes frontaliersainsi que des passagers en provenance de six pays que sont la Républiquedémocratique du Congo, la Guinée, le Liberia, la Sierra Léone, leNigeria et le Sénégal.
Le représentant de l'OMS a ajoutéqu'avec l'aide de l'OMS et du Japon, le Vietnam peut effectuer parlui-même des tests de dépistage du virus Ebola. -VNA
Le Vietnam a besoin de plus d’infirmières et d’infirmières mieux formées
Le Portai du gouvernement s’est entretenu avec le Dr Vuong Anh Duong, directeur adjoint du Département de l’administration des services médicaux du ministère de la Santé, au sujet de la pénurie d’infirmières, tant en nombre qu’en termes de structure professionnelle et de qualifications, par rapport aux besoins réels et aux normes régionales et internationales.