COVID-19 : le ministère de la Sécurité publique envoie des renforts au Sud

Le ministère de la Sécurité publique a mobilisé nombre de cadres et policiers pour assister Ho Chi Minh-Ville et des provinces du Sud dans la prévention et le contrôle de l'épidémie de COVID-19...
COVID-19 : le ministère de la Sécurité publique envoie des renforts au Sud ảnh 1Des policiers avant le départ pour le Sud. Photo : VNA
Hanoï (VNA) – Ces derniers jours, le ministère de la Sécurité publique amobilisé nombre de cadres et policiers pour assister Ho Chi Minh-Ville et desprovinces du Sud dans la prévention et le contrôle de l'épidémie de COVID-19, ainsique dans la garantie de la sécurité et de l’ordre.

Selon le général To An Xo, chef du bureau et porte-parole duministère de la Sécurité publique, dans le contexte de situation compliquée del'épidémie, plusieurs forces et unités du ministère de la Sécurité Publique,tels que la Police de la circulation, la Police mobile, la Police de gestion administrative,la médecine de la Sécurité Publique, la Direction de la logistique ..., ontenvoyé des renforts à Ho Chi Minh Ville et dans des provinces du Sud.

Les forces amenées en renfort se coordonneront avec lesforces locales pour assurer la sécurité, l'ordre et la sûreté, assister lepersonnel aux points de contrôle, zones mises en quarantaine, hôpitaux decampagne... Elles participeront également aux efforts pour garantir les servicesessentiels aux populations, à la gestion de la mobilité despopulations, à la mise en place de logiciels de gestion des habitants dans les zonesépidémiques, de gestion de la vaccination...-VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.