Bilan de la gestion des affaires religieuses en 2017

Le ministère de l'Intérieur et le Comité des affaires religieuses du gouvernement ont dressé mercredi un bilan positif de la gestion publique dans ce secteur en 2017.

Hanoi (VNA) - Le ministère de l'Intérieur et le Comité des affaires religieuses du gouvernement ont dressé mercredi 27 décembre un bilan de la gestion publique dans ce secteur en 2017. 

En 2017, les services compétents ont amélioré leur travail, contribuant à la garantie de la sécurité politique et au développement socio-économique national.

Pour 2018, ils ont décidé de mettre l’accent sur la promotion du développement économique des zones abritant une importante communauté religieuse et sur le renforcement de la diplomatie religieuse, de façon à permettre à la communauté internationale de mieux comprendre la situation des religions et des droits de l’homme au Vietnam.

Présent à la réunion, le vice-Premier ministre Truong Hoa Binh a insisté sur la nécessité de bien expliquer aux ​fidèles la politique du Parti et de l’Etat concernant les religions, en particulier la loi sur les cultes.

«La solidarité entre laïques et ​pratiquants d'une religion est primordiale. Il faut reconnaître les aspects positifs des religions. ​Là où les organisations politiques et socio-politiques veillent à ce que les activités religieuses se déroulent dans le cadre de la loi, la situation soit stable et l’ordre social maintenu. A l’inverse, si ces organisations ne font pas bien leur travail, le risque de troubles sociaux est réel », a affirmé Truong Hoa Binh. - VOV/VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.