Aide japonaise pour des marchandes ambulantes

Le Japon accordera une aide non remboursable de 2,5 millions de dollars au Vietnam, au Laos et au Cambodge, pour construire de nouveaux marchés (au sens traditionnel du terme) et prêter assistance à des commerçantes ambulantes.
Le Japon accordera une aide non remboursable de 2,5 millions de dollars àtrois pays d'Asie du Sud-Est : Vietnam, Laos et Cambodge, pourconstruire de nouveaux marchés (au sens traditionnel du terme) et prêterassistance à des commerçantes ambulantes.

Cette somme sera distribuée par l'intermédiaire de la Banque asiatique de développement (BAD).

Florian Steinberg, expert de la BAD, a précisé que ce projet visait àaider des marchandes ambulantes à louer un stand sur les nouveauxmarchés ainsi qu'à accéder à des services locaux de santé pour leursenfants.

Ces nouveaux marchés seront construits dans lesvilles cambodgienne de Battambang, laotienne de Kaysone Phomvihane etvietnamienne de Dong Ha.

D'ici 2017, environ 600marchands ambulants, dont 70% sont des femmes, auront accès à desmicrocrédits et des cours de formation professionnelle. -VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.