HuynhDam, président du Comité central du Front de la Patrie du Vietnam (FPV),est allé jeudi formuler ses meilleurs voeux de Noël au cardinal PhamMinh Man, archevêque de Ho Chi Minh-Ville, à la Confédération généralede l'Eglise protestante du Vietnam (Sud), et au pasteur Nguyen CongDanh, président du Comité de solidarité catholique du Vietnam.
Le chef du FPV a souhaité une bonne santé et un joyeux Noël au cardinalPham Minh Man comme aux catholiques. Il a salué le Conseil épiscopal duVietnam pour avoir organisé avec succès la Xe Assemblée plénière de laFédération des conférences épiscopales d'Asie (FABC).
Il afait grand cas du rôle des cardinaux, du Conseil épiscopal du Vietnamet des dignitaires de l'Eglise pour avoir guidé en 2012 les catholiquesde l'ensemble du pays dans la mise en oeuvre des préconisations etpolitiques du Parti ainsi que le respect des lois de l'Etat, mais aussipour les avoir appelé à participer activement aux mouvements d'émulationpatriotique du FPV, à suivre la tradition de "Mener une bonne viecivique et religieuse" et à participer au programme d''Edification d'uneNouvelle campagne"...
Le cardinal Pham Minh Man aremercié le Parti, l'Administration et le FPV pour leur intérêt et leuraide avant d'adresser ses voeux de joyeux Noël et de bonheur à tous lesVietnamiens.
Lors de sa visite à la Confédérationgénérale de l'Eglise protestante du Vietnam (Sud) et au pasteur NguyenCong Danh, Huynh Dam s'est déclaré convaincu que les dignitaires,prêtres et chrétiens continueront de faire valoir la tradition depatriotisme, d'être attaché au peuple, de contribuer à l'oeuvred'édification et de défense nationale, et de poursuivre l'objectifultime d'''Un peuple riche, un pays puissant, une société équitable,démocratique et civilisée''.
Huynh Dam a ensuite renduvisite à des catholiques, familles bénéficiaires de politiques socialesou démunies du diocèse de Thi Nghe, dans l'arrondissement de Binh Thanh.-AVI
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L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.
