Tay Ninh : Chàng Riêc devient une porte frontière principale

Chàng Riêc, dans la province de Tay Ninh (Sud), a désormais le statut de porte frontière principale entre le Vietnam et le Cambodge.

Hanoi (VNA) – Chàng Riêc, dans la province de Tay Ninh (Sud), a désormais le statut de porte frontière principale entre le Vietnam et le Cambodge.

Cette porte frontière contribuera à augmenter les échanges commerciaux entre les deux pays, à développer l’économie dans les zones ​frontalières et à ​garantir la sécurité et la défense de celles-ci.

Tay Ninh occupe une position importante dans les échanges​ commerciaux entre le Vietnam et le Cambodge ainsi que d’autres pays d’Asie du Sud-Est. Elle est traversée par les autoroutes 22 et 22B relevant de la Transasiatique.

Chàng Riêc​ est l'une des trois portes frontières auxiliaires de la province de Tay Ninh autorisées de devenir des portes frontières principales, conformément la décision No 1490/QD-TTg du Premier ministre approuvant le plan de développement des portes frontières terrestres entre le Vietnam et le Cambodge d’ici 2020​. –VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.