Seules les écoles de Ba Vi à Hanoï autorisées à rouvrir le 8 novembre

Les élèves de certaines classes du seul district de Ba Vi à Hanoï peuvent aller à l'école à partir du 8 novembre, selon le dernier document signé le 6 novembre.
Hanoï, 6 novembre(VNA) - Les élèves de certaines classes du seul district de Ba Vi à Hanoïpeuvent aller à l'école à partir du 8 novembre, selon le dernier document signéle 6 novembre par le vice-président du Comité populaire municipal Chu Xuan Dung.
Seules les écoles de Ba Vi à Hanoï autorisées à rouvrir le 8 novembre ảnh 1Le personnel de l'école nettoie une salle de classe pour assurer l'hygiène.  Photo: VNA


Plus précisément,dans chaque commune ou bourg qui n'a enregistré aucun cas de COVID-19 dans lacommunauté au cours des 14 derniers jours, le comité directeur du district pourla prévention et le contrôle du COVID-19 sélectionne une école pour reprendrel'enseignement en classe pour les élèves des 5e, 6e, 9, 10e et 12e années.

Les élèves desautres classes du district et tous les élèves des 29 autres districts et arrondissementscontinuent d'étudier en ligne. Toutes les écoles maternelles restent égalementfermées.

Cette décision aété prise alors que la pandémie de COVID-19 continue de s développer de manièreplus compliquée dans la ville.

Plus tôt, le 1ernovembre, lorsque la ville a signalé environ 10 infections par jour, le comitépopulaire municipal a autorisé la réouverture des écoles des districts debanlieue pour l'enseignement en classe aux élèves des 5e, 6e, 9, 10e et 12eannées. - VNA
source

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.