Mis en œuvre depuis 2010, le projet a été financé à hauteur de près de5 millions provenant par le FEM et 76.000 dollars par la Républiquetchèque via le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Le projet est destiné à minimaliser lesperturbations des écosystèmes et les risques pour la santé dans lessites fortement pollués comme les aéroports de Biên Hoà dans la provincede Dông Nai (Sud), Dà Nang (Centre) et Phu Cat dans la province de BinhDinh (Centre).
Le vice-directeur général de laDirection générale de l’environnement, chef de cabinet du bureau duComité national de pilotage du traitement des conséquences de l’agentorange/dioxine (bureau 33), Nguyên Thê Dông, a fait savoir jeudi que ceprojet a bien réalisé les objectifs fixés.
Ce projeta aussi apporté des contributions scientifiques et pratiquessignificatives à la recherche et au règlement des conséquences complexeset à long terme de l’agent orange/dioxine au Vietnam, a-t-il encoreindiqué lors d’une conférence-bilan à Hanoi sur le projetd’assainissement des points chauds de contamination par la dioxine auVietnam.
Les résultats du projet ont été remis auxministères de la Défense, des Ressources naturelles et del’Environnement, au Service des ressources naturelles et del’environnement de Dông Nai et à plusieurs organisations concernées.
Ces dernières années, le Vietnam a redoublé sesefforts pour surmonter les séquelles de la guerre. La dépollutionsystématique de tous les points chauds revêt une signification majeurepour protéger les populations et l’environnement. Cela figure dans laConvention de Stockholm sur les polluants organiques persistants. – VNA