Une étape de la production du côm. Photo : VNA
Une étape de la production du côm. Photo : VNA
Le produit fini doit être obligatoirement enveloppé afin qu’il ne sèche pas et ne perde pas sa couleur verte. Le parfum du côm et celui des feuilles de lotus fraîches se marient bien, donnant une saveur particulière au côm de Hanoï. Photo : VNA
Le produit fini doit être obligatoirement enveloppé afin qu’il ne sèche pas et ne perde pas sa couleur verte. Le parfum du côm et celui des feuilles de lotus fraîches se marient bien, donnant une saveur particulière au côm de Hanoï. Photo : VNA
Le xôi côm (jeune riz gluant cuit à la vapeur), une spécialité automnale. Photo : VNA
Le xôi côm (jeune riz gluant cuit à la vapeur), une spécialité automnale. Photo : VNA
Durant le pilage, on cherche à éliminer les balles jusqu’à obtention de graines vraiment liantes. Photo : VNA
Durant le pilage, on cherche à éliminer les balles jusqu’à obtention de graines vraiment liantes. Photo : VNA
La vendeuse enveloppe dans une feuille de lotus une quantité allant de 100-200 grammes jusqu’à un kilo. Photo : VNA
La vendeuse enveloppe dans une feuille de lotus une quantité allant de 100-200 grammes jusqu’à un kilo. Photo : VNA
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Le "côm" du village de Mê Tri

Le métier de fabrication de côm (riz gluant jeune en granules aplatis) dans le village de Me Tri (arrondissement de Nam Tu Liem, Hanoï) existe depuis plus d’un siècle. De nos jours, de nombreux ménages de Me Tri perpétuent ce métier. Chaque année, du début du 7e mois lunaire au 10e, les villageois sont occupés à préparer la plus grande saison de côm de l'année.