De nombreuses entreprises du secteur de pangasius accordent la priorité à la transformation des produits à haute valeur ajoutée tels que collagène, gélatine, huile de poisson… en vue d’élargir les débouchés ainsi qu’élever la valeur à l’exportation de ce secteur.
Selon les estimations de l’Association de poissons tra et basa du Vietnam (VN Pangasius), environ 80% des pangasius exportés sont des filets, et seuls 5% sont les produits bien transformés – notamment collagène, gélatine, huile de poisson, poudre de poisson…
Selon Vo Hung Dung, vice – président de VN Pangasius, actuellement, pour un kilogramme de filets et un kilogramme d’huile de poisson, il faut respectivement 2,5 kg et 5 kg de matière première. Raison : un manque de capitaux pour investir dans la chaîne de production ainsi que de faibles capacités de gestion.
Chaque année, le delta du Mékong peut fournir au marché plus de 140.000 tonnes de graisses de pangasius, mais la plupart de ce volume est destiné à l’exportation, à l’industrie domestique de transformation d’aliments pour animaux, et à la production de biodiesel. Et ce bien que le pays doive importer annuellement pour des milliards de dollars d’huiles de cuisson de toutes catégories, a jugé Vo Hung Dung.
Dans la commune de Binh Thanh, district de Lap Vo, province de Dong Thap, le groupe Sao Mai de la province d’An Giang a investi dans une usine qui transforme la graisse des poissons tra et basa en huile utilisée dans la production de cosmétiques, de produits pharmaceutiques et de denrées alimentaires. Sa capacité quotidienne actuelle est de 100 tonnes d'huile de poisson, puis 200 tonnes par jour en 2015.
Pour sa part, la société par actions de Vinh Hoan a investi dans une usine de production de collagène et de gélatine de peaux de poissons tra et basa dans la ville de Cao Lanh, province de Dông Thap. Dès son entrée en opération début 2015, cette usine devrait atteindre une puissance annuelle de 2.000 tonnes. -CPV/VNA
Selon les estimations de l’Association de poissons tra et basa du Vietnam (VN Pangasius), environ 80% des pangasius exportés sont des filets, et seuls 5% sont les produits bien transformés – notamment collagène, gélatine, huile de poisson, poudre de poisson…
Selon Vo Hung Dung, vice – président de VN Pangasius, actuellement, pour un kilogramme de filets et un kilogramme d’huile de poisson, il faut respectivement 2,5 kg et 5 kg de matière première. Raison : un manque de capitaux pour investir dans la chaîne de production ainsi que de faibles capacités de gestion.
Chaque année, le delta du Mékong peut fournir au marché plus de 140.000 tonnes de graisses de pangasius, mais la plupart de ce volume est destiné à l’exportation, à l’industrie domestique de transformation d’aliments pour animaux, et à la production de biodiesel. Et ce bien que le pays doive importer annuellement pour des milliards de dollars d’huiles de cuisson de toutes catégories, a jugé Vo Hung Dung.
Dans la commune de Binh Thanh, district de Lap Vo, province de Dong Thap, le groupe Sao Mai de la province d’An Giang a investi dans une usine qui transforme la graisse des poissons tra et basa en huile utilisée dans la production de cosmétiques, de produits pharmaceutiques et de denrées alimentaires. Sa capacité quotidienne actuelle est de 100 tonnes d'huile de poisson, puis 200 tonnes par jour en 2015.
Pour sa part, la société par actions de Vinh Hoan a investi dans une usine de production de collagène et de gélatine de peaux de poissons tra et basa dans la ville de Cao Lanh, province de Dông Thap. Dès son entrée en opération début 2015, cette usine devrait atteindre une puissance annuelle de 2.000 tonnes. -CPV/VNA