Ho Chi Minh-Ville (VNA) - Le 30 novembre, l’hôpital Cho Rây et l’hôpital franco-vietnamien (FV) ont organisé un colloque scientifique sur le thème "Nouvelles techniques de radiothérapie", attirant la participation de nombreux experts, médecins et techniciens dans le domaine de la radiothérapie.
Selon un rapport du Centre international de recherche sur le cancer, notre pays comptait plus de 300.000 personnes atteintes de cette maladie en 2018 et ce nombre est en augmentation constante. Cependant, les progrès de la science et de la technologie ont apporté de nombreuses solutions concernant les traitements.
Certains cancers sont gérables s'ils sont détectés tôt. Parmi les traitements modernes, les rayons jouent un rôle clé, représentant 60 à 70% du nombre total des médicaments anticancéreux.
La radiothérapie peut être appliquée sur différents types de cancers, à différents stades, et peut être commandée indépendamment ou en combinaison avec d’autres méthodes pour améliorer l'efficacité du traitement.
Cette méthode est de plus en plus étudiée, développée et améliorée afin d’obtenir de meilleurs résultats, de minimiser les effets secondaires, d’aider les patients non seulement à prolonger leur vie, mais également à améliorer leur qualité de la vie pendant et après le traitement.
Lors du séminaire, les intervenants ont échangé des informations sur les techniques de radiothérapie modernes et présenté une pratique type visant à améliorer la qualité du traitement pour le personnel médical vietnamien.
Selon le Dr. Nguyên Ngoc Bao Hoàng, Centre d'oncologie de l'hôpital Cho Rây, l'hôpital applique actuellement la technique de radiothérapie VMAT en combinaison avec le diagnostic par images CT4D pour aider à déterminer l'emplacement exact et la forme de la tumeur. Ce procédé comprend également les tumeurs mobiles pour le cancer du poumon, augmentant ainsi la précision et l'efficacité du traitement.
La technique de VMAT permet de réduire la durée de chaque rayon, ainsi que le nombre de radiothérapie tout en garantissant une efficacité optimale et atténuant les effets secondaires pour les patients. Ce dispositif est actuellement appliqué dans les pays développés pour le cancer de la tête et du cou, de la prostate, du sein, de pharynx, de la tumeur au cerveau...-CVN/VNA
Selon un rapport du Centre international de recherche sur le cancer, notre pays comptait plus de 300.000 personnes atteintes de cette maladie en 2018 et ce nombre est en augmentation constante. Cependant, les progrès de la science et de la technologie ont apporté de nombreuses solutions concernant les traitements.
Certains cancers sont gérables s'ils sont détectés tôt. Parmi les traitements modernes, les rayons jouent un rôle clé, représentant 60 à 70% du nombre total des médicaments anticancéreux.
La radiothérapie peut être appliquée sur différents types de cancers, à différents stades, et peut être commandée indépendamment ou en combinaison avec d’autres méthodes pour améliorer l'efficacité du traitement.
Cette méthode est de plus en plus étudiée, développée et améliorée afin d’obtenir de meilleurs résultats, de minimiser les effets secondaires, d’aider les patients non seulement à prolonger leur vie, mais également à améliorer leur qualité de la vie pendant et après le traitement.
Lors du séminaire, les intervenants ont échangé des informations sur les techniques de radiothérapie modernes et présenté une pratique type visant à améliorer la qualité du traitement pour le personnel médical vietnamien.
Selon le Dr. Nguyên Ngoc Bao Hoàng, Centre d'oncologie de l'hôpital Cho Rây, l'hôpital applique actuellement la technique de radiothérapie VMAT en combinaison avec le diagnostic par images CT4D pour aider à déterminer l'emplacement exact et la forme de la tumeur. Ce procédé comprend également les tumeurs mobiles pour le cancer du poumon, augmentant ainsi la précision et l'efficacité du traitement.
La technique de VMAT permet de réduire la durée de chaque rayon, ainsi que le nombre de radiothérapie tout en garantissant une efficacité optimale et atténuant les effets secondaires pour les patients. Ce dispositif est actuellement appliqué dans les pays développés pour le cancer de la tête et du cou, de la prostate, du sein, de pharynx, de la tumeur au cerveau...-CVN/VNA