En réponse à l'appel du gouvernement du Pakistan lancé en suite des inondations qui ont ravagé une partie du pays depuis un mois, le gouvernement du Vietnam a décidé de fournir une aide d'urgence de 50.000 dollars.
Selon l'AFP, ce désastre a déjà causé la mort de plus de 1.500 personnes et en affecte au moins 20 millions d'autres. Selon le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Shah Mehmood Qureshi, les pertes matérielles ont dépassé les 43 milliards de dollars.
"Environ 4,6 millions de personnes sont toujours sans abri", a annoncé jeudi l'ONU qui a ouvert à New York une séance extraordinaire de son Assemblée générale pour renforcer l'aide à accorder aux sinistrés.
Au moins six des 15 à 20 millions de victimes de la pire catastrophe naturelle de l'histoire du Pakistan continuent de dépendre uniquement de l'aide humanitaire, faute de nourriture, d'eau potable et d'abri dans ou à proximité des zones sinistrées.
Nombre d'entre eux restent livrés à eux-mêmes dans des camps de fortune ou le long des routes, à la merci d'épidémies telles que diarrhées, choléra ou typhoïde qui sont redoutées par les agences humanitaires.
A l'ouverture de la séance extraordinaire de l'Assemblée générale, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a déclaré que ce désastre au Pakistan constituait "un test majeur de la solidarité internationale". Il a comparé cette catastrophe à "un tsunami au ralenti" dont "le pouvoir de destruction va s'amplifier avec le temps". -AVI
Selon l'AFP, ce désastre a déjà causé la mort de plus de 1.500 personnes et en affecte au moins 20 millions d'autres. Selon le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Shah Mehmood Qureshi, les pertes matérielles ont dépassé les 43 milliards de dollars.
"Environ 4,6 millions de personnes sont toujours sans abri", a annoncé jeudi l'ONU qui a ouvert à New York une séance extraordinaire de son Assemblée générale pour renforcer l'aide à accorder aux sinistrés.
Au moins six des 15 à 20 millions de victimes de la pire catastrophe naturelle de l'histoire du Pakistan continuent de dépendre uniquement de l'aide humanitaire, faute de nourriture, d'eau potable et d'abri dans ou à proximité des zones sinistrées.
Nombre d'entre eux restent livrés à eux-mêmes dans des camps de fortune ou le long des routes, à la merci d'épidémies telles que diarrhées, choléra ou typhoïde qui sont redoutées par les agences humanitaires.
A l'ouverture de la séance extraordinaire de l'Assemblée générale, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a déclaré que ce désastre au Pakistan constituait "un test majeur de la solidarité internationale". Il a comparé cette catastrophe à "un tsunami au ralenti" dont "le pouvoir de destruction va s'amplifier avec le temps". -AVI