Ho Chi Minh-Ville souhaite des aides japonaises dans les infrastructures

Ho Chi Minh-Ville a demandé au Japon de continuer à l’assister pour assurer l’efficacité et la sécurité des lignes ferroviaires urbaines.
Ho Chi Minh-Ville souhaite des aides japonaises dans les infrastructures ảnh 1La ligne de métro N°1 Ben Thanh-Suoi Tien est en cours de construction. Photo : VNA

Ho Chi Minh-Ville (VNA) – En recevant le ministre japonais de l’Aménagement du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme, Keiichi Ishii, le président du Comité populaire de Ho Chi Minh-Ville, Nguyen Thanh Phong, lui a demandé de continuer d’assister sa ville pour assurer l’efficacité et la sécurité des lignes de chemin de fer urbaines.

A cette occasion, le dirigeant de la mégapole du Sud a remercié le Japon pour ses aides publiques au développement, notamment pour les projets d’infrastructures importantes comme les lignes de métro N°1 (Ben Thanh-Suoi Tien) et 3a (première phase : Ben Thanh – gare d’autocars Mien Tay). Il a demandé au gouvernement japonais, par l’intermédiaire de l’Agence japonaise de Coopération internationale (JICA), d’examiner l’étude de faisabilité de la deuxième phase de la ligne 3a (gare d’autocars Mien Tay-Tan Kien).

Le ministre japonais a affirmé sa volonté de continuer de coopérer avec Ho Chi Minh-Ville dans la construction d’infrastructures modernes et dans la formation de ressources humaines. A propos du centre commercial souterrain Ben Thanh, Keiichi Ishii a souligné son importance et demandé aux autorités municipales de lancer rapidement ce projet. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.