Hô Chi Minh-Ville (VNA) - Suite à la réduction considérable du nombre de patients, le Centre de réanimation (ICU) COVID-19 de 1.000 lits à Thu Duc cessera de fonctionner et rendra les lieux à l'Hôpital d'oncologie 2.
"Le Centre de réanimation COVID-19, situé dans les locaux de l'Hôpital d'oncologie 2, a rempli sa mission", a déclaré Nguyên Thi Huynh Mai, cheffe du bureau du Service de la santé de Hô Chi Minh-Ville, lors d'une conférence de presse sur la lutte contre l'épidémie tenue le 10 février dans la mégapole du Sud.
Il s'agit du plus grand centre de soins intensifs des patients atteints du COVID-19 dans la ville. En juillet 2021, la pandémie y battait son plein. Les autorités sanitaires de Hô Chi Minh-Ville avaient alors décidé de réquisitionner les infrastructures de l'Hôpital d'oncologie 2 pour établir un centre de soins intensifs des patients sévères et critiques. Plus de 5.000 graves malades y ont été traités.
Selon Nguyên Thi Huynh Mai, le nombre de ces patients a fortement diminué ces derniers mois et est désormais proche de zéro. Pour les malades restants, ils seront transférés dans deux autres hôpitaux de campagne, N°14 et N°16, pour poursuivre leur traitement.
De plus, la mission principale de l'Hôpital d'oncologie 2 est de servir les personnes atteintes de cancers. Face à l'augmentation des besoins de traitement de ces patients, il est donc temps pour l'établissement de suivre son but initial.
Objectif : troisième dose pour 80% de la population
Malgré cette fermeture de son plus grand centre de soins intensifs au COVID-19, Hô Chi Minh-Ville garde toujours 1.000 lits à sa disposition : 600 à deux centres de réanimation situés dans deux hôpitaux de campagne N°14 et N°16, 200 à l'Hôpital des maladies tropicales et 200 autres à l'hôpital Cho Rây.
En outre, d'après Mme Huynh Mai, la ville fermera également, pour les mêmes raisons, l'Hôpital de campagne N°12 (dédié à la collecte et au traitement des personnes infectées par le variant Omicron), ainsi que deux autres N°6 et N°8.
En effet, le ministère de la Santé a autorisé aux patients infectés par Omicron de pouvoir être traités dans un hôpital privé ou à domicile.
"Le Centre de réanimation COVID-19, situé dans les locaux de l'Hôpital d'oncologie 2, a rempli sa mission", a déclaré Nguyên Thi Huynh Mai, cheffe du bureau du Service de la santé de Hô Chi Minh-Ville, lors d'une conférence de presse sur la lutte contre l'épidémie tenue le 10 février dans la mégapole du Sud.
Il s'agit du plus grand centre de soins intensifs des patients atteints du COVID-19 dans la ville. En juillet 2021, la pandémie y battait son plein. Les autorités sanitaires de Hô Chi Minh-Ville avaient alors décidé de réquisitionner les infrastructures de l'Hôpital d'oncologie 2 pour établir un centre de soins intensifs des patients sévères et critiques. Plus de 5.000 graves malades y ont été traités.
Selon Nguyên Thi Huynh Mai, le nombre de ces patients a fortement diminué ces derniers mois et est désormais proche de zéro. Pour les malades restants, ils seront transférés dans deux autres hôpitaux de campagne, N°14 et N°16, pour poursuivre leur traitement.
De plus, la mission principale de l'Hôpital d'oncologie 2 est de servir les personnes atteintes de cancers. Face à l'augmentation des besoins de traitement de ces patients, il est donc temps pour l'établissement de suivre son but initial.
Objectif : troisième dose pour 80% de la population
Malgré cette fermeture de son plus grand centre de soins intensifs au COVID-19, Hô Chi Minh-Ville garde toujours 1.000 lits à sa disposition : 600 à deux centres de réanimation situés dans deux hôpitaux de campagne N°14 et N°16, 200 à l'Hôpital des maladies tropicales et 200 autres à l'hôpital Cho Rây.
En outre, d'après Mme Huynh Mai, la ville fermera également, pour les mêmes raisons, l'Hôpital de campagne N°12 (dédié à la collecte et au traitement des personnes infectées par le variant Omicron), ainsi que deux autres N°6 et N°8.
En effet, le ministère de la Santé a autorisé aux patients infectés par Omicron de pouvoir être traités dans un hôpital privé ou à domicile.
D'ailleurs, la ville continue de maintenir des hôpitaux de campagne et des installations de traitement du COVID-19 dans des arrondissements et zones industrielles tels que le parc de haute technologie de Hô Chi Minh-Ville et les hôpitaux de campagne N°13, N°14 et N°16.
Les hôpitaux Pham Ngoc Thach, Trung Vuong, An Binh, Cu Chi et Lê Minh Xuân se sont "dédoublés" afin de traiter les malades du COVID-19. "En cas de situation d'urgence qui se produirait, au cours des 24 heures, le Service municipal de la santé réactivera les hôpitaux de traitement du COVID-19", a déclaré Huynh Mai.
Jusqu’au 9 février, la ville en enregistrait plus de 515.000 cas, principalement des cas communautaires. 618 patients ont été pris en charge dont 88 cas graves sous ventilation mécanique et 13 patients ont nécessité une intervention ECMO (système circulatoire extracorporel).
Le 9 février, il y a eu 97 cas d’hospitalisations supplémentaires, 39 guérisons et 4 décès.
À ce jour, la ville a enregistré 92 cas infectés par Omicron et aucun décès dû à cette nouvelle souche.
La cheffe du bureau du Service municipal de la santé a déclaré que l'objectif de Hô Chi Minh-Ville était de couvrir trois doses de vaccin pour 80% de sa population.
Afin de se préparer à administrer le vaccin COVID-19 pour les 5 à 11 ans, la ville a d'ores et déjà établi une liste d'enfants ainsi que préparé du personnel de santé et d'urgence. Tout est en ordre pour déployer les instructions de sécurité du ministère de la Santé. -CVN/VNA