Formation professionnelle aux normes de l'UNESCO

Le Premier ministre a autorisé l'Institut universitaire de techniques et de technologies Lilama 2 (Lilama 2 Technical & Technology College), basé dans le district de Long Thanh, province de Dong Nai (Sud), à appliquer à titre d'essai un programme de formation aux normes de l'UNESCO.
Le Premier ministrea autorisé l'Institut universitaire de techniques et de technologiesLilama 2 (Lilama 2 Technical & Technology College), basé dans ledistrict de Long Thanh, province de Dong Nai (Sud), à appliquer à titred'essai un programme de formation aux normes de l'UNESCO.

Ainsi, il s'agit du premier établissement de formation professionnelledu Vietnam qui donne des programmes d'enseignement basés sur le niveau 6(licence ou équivalent) de l'UNESCO-ISCED 2011 (classificationinternationale type de l'éducation).

Dès l'année scolaire2015-2016, cet institut recrutera 150 étudiants et enseignera lesoudage, l'électronique industrielle, la fabrication mécanique dans lecadre de ce programme.

Une fois diplômés, les étudiantsrecevront un diplôme délivré par City and Guilds of London Institute,lequel est accepté dans 80 pays. Après quatre ans d'étude, ilsmaîtriseront l'anglais au niveau B1. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.