Quatre banques commerciales du Vietnam et le groupe Electricité duVietnam (EVN) ont signé mercredi à Hanoi des conventions de crédittotalisant 14.500 milliards de dongs pour la construction du projet decentrale hydroélectrique de Lai Chau.
Il s'agit desbanques commerciales par actions du commerce extérieur du Vietnam(Vietcombank), de l'industrie et du commerce du Vietnam (Vietinbank),d'investissement et de développement du Vietnam (BIDV) et de la Banquede l'agriculture et du développement rural du Vietnam (Agribank).
Selon le comité de gestion de ce projet, ces fonds seront réservés aux travaux de ces prochaines années.
Auparavant, ce comité a signé un contrat de crédit de 6.000 milliardsde dongs avec le Fonds d'assurance sociale du Vietnam et un autre de4.600 milliards avec la Banque de développement du Vietnam, destinés àla libération des terrains et à l'achat d'équipements. Jusqu'àmaintement, plus de 6.566 milliards de dongs ont déjà été décaissés pource projet.
En mai dernier, le Comité de gestion de lacentrale hydroélectrique de Lai Chau et un groupe d'adjudicateurschapeauté par la Compagnie générale de Sông Da ont signé un contrat d'unmontant de 11.170 milliards de dongs pour la mise en oeuvre del'enveloppe d'adjudication 1XL, qui concerne la construction del'ouvrage principal de cette centrale.
La centralehydroélectrique de Lai Châu, dans la province éponyme (Nord), sera latroisième plus importante du Vietnam après celles de Son La et de HoaBinh. Sa construction a débuté le 5 janvier 2011. Dotée de troisturboalternateurs, d'une capacité totale de 1.200 MW, elle nécessiteraun montant d'investissement total de 35.700 milliards de dongs, dont 20%provenant d'EVN. Elle pourra produire chaque année 4,67 milliards dekWh. La contenance de son lac-réservoir s'élève à 1,215 milliard de m3.
Selon les prévisions, le premier groupe deturboalternateurs serait opérationnel en 2016 et l'ouvrage serait achevéen 2017. -VNA
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Dans le cadre de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée, le Premier ministre a demandé aux ministères et secteurs de renforcer la discipline des rapports périodiques, en appliquant strictement le principe des « six clarifications » afin d’assurer la transparence, la responsabilité et l’efficacité des actions engagées.
