La ville de Da Nang a acquis son autonomie de la province de QuangNam-Da Nang en devenant en janvier 1997 une ville de ressort central,et bénéficié d'une croissance de 11% durant la période 2005-2010 et de13% en 2011, ce qui témoigne d'un fort développement économique.
Sa restructuration économique progresse de manière satisfaisantepuisque ses secteurs de l'industrie, de la construction, du tourisme etdes services participent le plus au PIB local. La ville demeure dans le1er groupe en termes d'indice de compétitivité provinciale (ICP) avecdes indicateurs bien meilleurs à nombre d'autres provinces du pays.2007 a été la 3e année consécutive où Da Nang s'est classée deuxième dupays en la matière.
Da Nang est la première des cinqvilles d'échelon central - Hanoi, Hai Phong, Da Nang, Can Tho et Ho ChiMinh-Ville - en matière d'environnement d'affaires, un autre critèrepris en compte pour l'ICP. Elle a en outre été sacrée ville àl'environnement durable de l'ASEAN en 2011.
Suivantrigoureusement la devise ''Croissance économique en relation avec leprogrès et l'équité sociale'' et appliquant les politiques de bien-êtresocial, le niveau de vie de sa population s'est notablement amélioré.
Da Nang est également la localité qui a achevé avant terme l'objectifde ''réduction du nombre de foyers démunis'', qui a été ramené de plusde 10% à 9% en 2010 à 3,05% en 2011.
Grâce à sesméthodes de travail créatives, Da Nang s'est distinguée dans la mise enoeuvre de la devise ''L'Etat et le peuple travaillent ensemble'' et de''développement des infrastructures''. Les résultats sont visibles avecdes stations de villégiature sur sa côte entre Son Tra et Dien Ngoc,ainsi que plusieurs écoles, hôpitaux et ponts sur le fleuve Han.
En quinze années, Da Nang a acquis une nouvelle physionomie grâce à denouveaux centres urbains, complexes touristiques et zonesindustrielles, pour le bien-être de sa population. -AVI
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).