Les partispolitiques et leurs candidats ne doivent pas menacer ou recourir à laforce contre les citoyens, partisans et candidats d'autres partis, etdoivent respecter la réglementation électorale, particulièrement laConstitution du Cambodge, a souligné Som Chandina, officiel de la NEC.
Quelque 9,67 millions d'électeurs cambodgiens sont attendus aux urnes pour les élections législatives du 28 juillet.
Huit partis se sont portés candidats, les trois premiers étant le Partidu peuple cambodgien (PPC), dirigé par le Premier ministre Hun Sen, leParti du sauvetage national du Cambodge (CNRP) du politicien en exil SamRainsy, et le Front uni national pour un Cambodge indépendant, neutre,pacifique et coopératif (FUNCINPEC) présidé par la princesse NorodomArun Rasmey, la plus jeune des filles du feu roi-père Norodom Sihanouk.
Selon des spécialistes, la présence de seulement huitpartis sur un total de 42, le plus faible nombre depuis 1993, montre quenombre d'entre eux ne sont plus capables de s'affronter dans l'arènepolitique faute de soutiens ou de moyens financiers.
Plus de 8.000 personnes se sont inscrites pour être observateurs aux élections législatives du Cambodge. -VNA