"Héritages nocifs", est titré ainsi unarticle paru le 18 août dans le journal allemand "Berliner Zeitung",lequel décrit la vie pénible des victimes vietnamiennes de l'agentorange/dioxine au Vietnam.
Cela fait maintenant 34 ans que la guerre a pris fin au Vietnam,mais les "héritages" de ce conflit demeurent terribles, avec environ 3millions de victimes touchées par l'agent orange, écrit l'auteur.
Celui-ci affirme que bien que l'Accord de Genève ait interditl'utilisation des produits chimiques au cours des guerres, lescompagnies américaines de produits chimiques telles que Dow Chemicals,Hercules Inc., Occidental chemical et Monsanto, ont vendu à l'Arméeaméricaine des centaines de milliers de barils de produits chimiquestrès toxiques contenant de la dioxine étiquetée de couleurs rose,verte, blanche et même orange pour les utiliser pendant "la guerre duVietnam". La dioxine s'est infiltrée profondément dans la terre, aprovoqué des mutations de l'ADN humain, favorisant l'apparition decancers et autres malformations congénitales et ce, sur plusieursgénérations.
L'article condamne non seulement les crimes barbares desimpérialistes américains, mais exprime aussi sa sympathie envers lesvictimes malheureuses et a chanté la conviction ardente en vie decertaines de ces victimes.
De concert avec les activités de soutien en faveur des victimesvietnamiennes de l'agent orange en Allemagne qui se sont déroulées cesderniers temps, cet article est un nouveau cri d'appel au soutien dumonde entier afin de rendre justice et de dédommager les victimesvietnamiennes touchées par l'agent orange/dioxine utilisé par l'Arméeaméricaine pendant "la guerre du Vietnam". - AVI