Les enfants O Du accompagnent leurs grands-mères et mères au lieu de la cérémonie d’accueil du premier tonnerre, où le maître des rituels (thầy mo) leur donne officiellement un nom. Photo : VNA
Les enfants O Du accompagnent leurs grands-mères et mères au lieu de la cérémonie d’accueil du premier tonnerre, où le maître des rituels (thầy mo) leur donne officiellement un nom. Photo : VNA
Les enfants O Du apprennent à porter les costumes traditionnels avant de participer à la cérémonie d’accueil du premier tonnerre, au rituel du fil au poignet et à la cérémonie de dénomination. Photo : VNA
Les enfants O Du apprennent à porter les costumes traditionnels avant de participer à la cérémonie d’accueil du premier tonnerre, au rituel du fil au poignet et à la cérémonie de dénomination. Photo : VNA
Les offrandes déposées sur le plateau comprennent du poulet bouilli, du riz gluant, de l’alcool, du poisson et de la viande... Photo : VNA
Les offrandes déposées sur le plateau comprennent du poulet bouilli, du riz gluant, de l’alcool, du poisson et de la viande... Photo : VNA
Les enfants reçoivent un fil noué au poignet par le maître des rituels et les anciens du village, puis sont officiellement intégrés dans la lignée familiale. Photo : VNA
Les enfants reçoivent un fil noué au poignet par le maître des rituels et les anciens du village, puis sont officiellement intégrés dans la lignée familiale. Photo : VNA
Chez les O Du, l’âge est calculé à partir du premier tonnerre entendu chaque année. Photo : VNA
Chez les O Du, l’âge est calculé à partir du premier tonnerre entendu chaque année. Photo : VNA
Les adultes s’attachent également un fil au poignet les uns aux autres, symbole de l’âme qui reste dans le corps, apportant force, chance et prospérité dans les activités agricoles ou forestières. Photo : VNA
Les adultes s’attachent également un fil au poignet les uns aux autres, symbole de l’âme qui reste dans le corps, apportant force, chance et prospérité dans les activités agricoles ou forestières. Photo : VNA
La personne à qui l’on attache le fil doit le garder au poignet toute l’année, sans jamais le retirer, jusqu’à la prochaine cérémonie d'accueil du premier tonnerre. Photo : VNA
La personne à qui l’on attache le fil doit le garder au poignet toute l’année, sans jamais le retirer, jusqu’à la prochaine cérémonie d'accueil du premier tonnerre. Photo : VNA
La cérémonie d'accueil du premier tonnerre de l'année (Chăm Phtrong), les rituels d’attacher le fil, l’intégration à la lignée et la dénomination sont des pratiques essentielles, riches en identité culturelle propre à l’ethnie O Du. Photo : VNA
La cérémonie d'accueil du premier tonnerre de l'année (Chăm Phtrong), les rituels d’attacher le fil, l’intégration à la lignée et la dénomination sont des pratiques essentielles, riches en identité culturelle propre à l’ethnie O Du. Photo : VNA
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À la découverte des traditions uniques des O Du : fil au poignet et premiers noms

Depuis des centaines d’années, les O Du du village de Vang Môn, commune de Nga My, province de Nghệ An (Centre), ont su préserver, transmettre et valoriser de nombreuses coutumes, rituels culturels et croyances, reflétant une identité culturelle unique. Parmi eux, le rituel d’attacher un fil au poignet et la cérémonie de dénomination s’inscrivent dans la fête d’accueil du premier tonnerre de l’année, un rite spirituel important chez les O Du. Ces pratiques symbolisent l’harmonie entre l’homme et la nature, le respect des ancêtres ainsi que la gratitude envers le ciel et la terre.