Vinh Nghiêm, pagode incontournable dans la province de Bac Giang
La pagode Vinh Nghiêm, située dans la province de Bac Giang (Nord), est réputée pour son architecture originale et, surtout, ses plus de 3.000 tablettes de bois.
La pagode Vinh Nghiêm, qui a pour autre nom Chuc Thanh, a été construite au XIe siècle, sous la dynastie des Ly (1010-1028).
L'ouvrage couvre une superficie d'un hectare et occupe une position importante au croisement des deux rivières Thuong et Luc Nam.
La construction de la pagode fut achevée en 1016. Son premier abbé fut le bonze Van Hanh.
Au XIIIe siècle, sous la dynastie des Trân, l’ouvrage fut choisi pour devenir un lieu de formation de nombreuses générations de moines bouddhistes talentueux.
En 1964, la pagode Vinh Nghiem a été classée site national et est devenue site national spécial en 2015. Sa fête a été inscrite au patrimoine culturel immatériel national en 2013.
La pagode arbore une architecture d’un grand classicisme, caractérisé par une toiture courbée recouverte de tuiles. Chaque façade est ornée de motifs fins et inspirés.
Elle comprend une porte, des édifices liés au culte, un clocher de deux étages et le jardin des tours.
La pagode Vinh Nghiem est considérée depuis longtemps comme l’un des sièges de la secte bouddhique Truc Lâm fondée au XIIIe siècle par le roi bouddhiste Trân Nhân Tông.
Le premier édifice est dédié au culte des trois ancêtres de de la secte bouddhique Truc Lâm : le roi bouddhiste Trân Nhân Tông, les bonzes Phap Loa et Huyen Quang.
Malgré d’innombrables restaurations, la pagode a su conserver son architecture traditionnelle marquée par les empreintes des dynasties des Le et des Nguyen.
La pagode conserve dans ses entrailles un véritable musée du bouddhisme du Vietnam du Nord en raison des nombreux documents précieux qu’elle abrite : une bonne centaine de statues de Bouddha…
… de nombreux panneaux et sentences parallèles…
…un arbre de 700 ans…
…de variétés de plantes uniques…
… notamment un ensemble de gravures xylographiques de sutras de Bouddha en han (idéogrammes chinois) et en nôm (idéogrammes vietnamiennes).
En 2012, ces tablettes de bois ont été inscrites par l’UNESCO au registre «Mémoire du monde» de la région Asie-Pacifique.
Les 3.050 planches sont en effet les seules planches servant à imprimer les sutras de la secte zen bouddhique Truc Lâm qui existe encore aujourd’hui.
Elles ont permis aux chercheurs de lever le voile sur certains mystères du passé, comme l'histoire du bouddhisme vietnamien, les sciences et les techniques, la philosophie, la sociologie et la linguistique.
Quelques morceaux de tuiles datés du XVe siècle, découverts lors de fouilles archéologiques dans la pagode Vinh Nghiem en 2015.
Des livres imprimés à partir des tablettes de bois, sont exposés dans la pagode.
La conservation et la mise en valeur de l’ensemble de ces gravures liturgiques sur bois sont importantes, d’autant que le passage des ans n’a eu aucune incidence sur elles.
De fait, ce patrimoine documentaire unique conserve toute sa valeur.
La pagode Vinh Nghiêm, qui a pour autre nom Chuc Thanh, a été construite au XIe siècle, sous la dynastie des Ly (1010-1028). 
L'ouvrage couvre une superficie d'un hectare et occupe une position importante au croisement des deux rivières Thuong et Luc Nam. 
La construction de la pagode fut achevée en 1016. Son premier abbé fut le bonze Van Hanh. 
Au XIIIe siècle, sous la dynastie des Trân, l’ouvrage fut choisi pour devenir un lieu de formation de nombreuses générations de moines bouddhistes talentueux. 
En 1964, la pagode Vinh Nghiem a été classée site national et est devenue site national spécial en 2015. Sa fête a été inscrite au patrimoine culturel immatériel national en 2013. 
La pagode arbore une architecture d’un grand classicisme, caractérisé par une toiture courbée recouverte de tuiles. Chaque façade est ornée de motifs fins et inspirés. 
Elle comprend une porte, des édifices liés au culte, un clocher de deux étages et le jardin des tours. 
La pagode Vinh Nghiem est considérée depuis longtemps comme l’un des sièges de la secte bouddhique Truc Lâm fondée au XIIIe siècle par le roi bouddhiste Trân Nhân Tông. 
Le premier édifice est dédié au culte des trois ancêtres de de la secte bouddhique Truc Lâm : le roi bouddhiste Trân Nhân Tông, les bonzes Phap Loa et Huyen Quang. 
Malgré d’innombrables restaurations, la pagode a su conserver son architecture traditionnelle marquée par les empreintes des dynasties des Le et des Nguyen. 
La pagode conserve dans ses entrailles un véritable musée du bouddhisme du Vietnam du Nord en raison des nombreux documents précieux qu’elle abrite : une bonne centaine de statues de Bouddha… 
… de nombreux panneaux et sentences parallèles… 
…un arbre de 700 ans… 
…de variétés de plantes uniques… 
… notamment un ensemble de gravures xylographiques de sutras de Bouddha en han (idéogrammes chinois) et en nôm (idéogrammes vietnamiennes). 
En 2012, ces tablettes de bois ont été inscrites par l’UNESCO au registre «Mémoire du monde» de la région Asie-Pacifique. 
Les 3.050 planches sont en effet les seules planches servant à imprimer les sutras de la secte zen bouddhique Truc Lâm qui existe encore aujourd’hui. 
Elles ont permis aux chercheurs de lever le voile sur certains mystères du passé, comme l'histoire du bouddhisme vietnamien, les sciences et les techniques, la philosophie, la sociologie et la linguistique. 
Quelques morceaux de tuiles datés du XVe siècle, découverts lors de fouilles archéologiques dans la pagode Vinh Nghiem en 2015. 
Des livres imprimés à partir des tablettes de bois, sont exposés dans la pagode. 
La conservation et la mise en valeur de l’ensemble de ces gravures liturgiques sur bois sont importantes, d’autant que le passage des ans n’a eu aucune incidence sur elles. 
De fait, ce patrimoine documentaire unique conserve toute sa valeur. 
