Il s’agit du résultat du projet "Service de triporteur pour les handicapés" évalué en début d’année à Hô Chi Minh-Ville.
Ce projet a été mis en œuvre par le Centre des handicapés et dudéveloppement de Hô Chi Minh-Ville, l’Agence de coopérationinternationale de République de Corée (KOICA) et le Forum du droit deshandicapés de République de Corée (Able Forum) entre juillet et décembre2013. C’est le premier service d’aide aux handicapés au Vietnam. Ilmontre la volonté d’aider les personnes handicapées à surmonter lesobstacles environnementaux et à avoir un meilleur accès à l'éducation etl’emploi.
Un groupe de dix triporteurs avec desconducteurs handicapés ou non, ont servi des milliers de clientshandicapés victimes de déficiences diverses (visuelle, motrice, auditiveou retard de développement).
Selon l’estimation duCentre des handicapés et du développement de Hô Chi Minh-Ville, lestriporteurs sont encore perfectibles pour ce public spécifique sur leplan pratique (marches trop élevées, personnel de service peuattentionné...).
En revanche, la demande d’utilisation duservice de «triporteur-taxi» pour handicapés est très élevée (plus de300 demandes enregistrées par semaine).
Nguyên ThanhLong, atteint de déficience motrice, a partagé : «J’utilise ce servicedepuis juillet 2013 et je suis très satisfait et heureux depuis sonlancement. C’est un service très sûr et mon chauffeur conduit toujourstrès prudemment».
La phase de test terminée, la courseest désormais facturée, et ce depuis le 1er janvier 2014. Mais le prixau kilomètre est maintenu très bas.
Kang Dae Gu,représentant de KOICA, l’agence qui a financé à hauteur de 58.000dollars ce projet pour sa mise en œuvre, a déclaré : «La République deCorée a la ferme intention de continuer à soutenir et élargirl’envergure de ce projet durant la prochaine période de trois ans(2014-2016)». -VNA
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).