Un autre impliqué dans une affaire de corruption au Département consulaire arrêté

L'Agence de police d'enquête du ministère de la Sécurité publique du Vietnam a arrêté le 28 octobre, Trân Hông Ha, directeur d'une société liée à l’affaire de "versement, de réception de pots-de-vin''.


Hanoï,28 octobre (VNA) - L'Agence de police d'enquête du ministère de la Sécuritépublique du Vietnam a arrêté le 28 octobre, Trân Hông Ha, directeurd'une société liée à l’affaire de"versement, de réception de pots-de-vin et d’escroquerie" survenue auDépartement consulaire du ministère des Affaires étrangères, à Hanoi et dansd’autres provinces et villes.

Un autre impliqué dans une affaire de corruption au Département consulaire arrêté ảnh 1L'Agence a émis un mandat d'arrêt temporaire contre Trân Hông Ha, directeur de la société de commerce international et de fourniture de main-d'œuvre Sao Viet, pour le crime de corruption, en vertu de l’article 354 du Code pénal.  Photo : VNA

Enconséquence, l'Agence a émis un mandat d'arrêt temporaire contre Trân Hông Ha,directeur de la société de commerce international et de fourniture demain-d'œuvre Sao Viet, pour le crime de corruption, en vertu de l’article 354 du Code pénal.

Le même jour, l’agence a engagé unepoursuite pénale contre Trân Hông Ha, né en 1972, et a perquisionné son domicile et son lieude travail
C'estle cas de la corruption dans l'octroi de licences à des entreprises quieffectuaient des vols de rapatriement de citoyens à l'étranger, qui s'estproduite dans le Département consulaire duministère des Affaires étrangères.

Une enquête plus approfondie surl’affaire suit son cours. – VNA 

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.