Cette année, il a en outre donné plus de 2.600 dollars pour la restauration de la tombe collective de ces victimes.
Les travaux ont été achevés, et un sentier en béton conduisant à cette tombe a également été construits.
Suivant le souhait de Billy Kelly, les gestionnaires du site de Son Myont dressé à côté de cette tombe une stèle sur laquelle est gravée unecolombe blanche ainsi que l'inscription "Un Américain qui soutient lapaix", en anglais et vietnamien.
Son My était un petitvillage calme bordé au sud par la rivière Tra Khuc et à l'est par lamer Orientale du Vietnam. Son My a été divisé en différents hameaux,désigné My Lai 1, 2, 3, 4.
Le 16 Mars 1968, 504 civilsde Son My, dont la plupart des femmes dont certaines enceintes, desenfants et des nourrissons, y ont été massacrés. Ce massacre estintervenu principalement à My Lai 4 (à l'ouest de Son My) et à My Lai 2(à l'est de Son My). Au moment du massacre, il n'y avait aucun signe deprésence d'hommes en âge de combattre, ou de personnes en arme dans cevillage, ni aucun de résistance. Le massacre a été perpétré par laCompagnie Charlie Barker d'un Détachement Spécial de l'armée desÉtats-Unis.
Aujourd'hui, My Lai est à 120km au sud de DaNang (ou Hoi An) et à 13km au nord-est de la ville de Quang Ngai, surla rive nord de la rivière Tra Khuc. De Da Nang et Hoi An, voyager versle sud le long de la route No. 1, une fois en face de la Rivière TraKhuc, prendre le virage à gauche et continuer le long de la rive norddu fleuve sur environ 13 km, où se trouve My Lai, siège de ce massacre.
Le site du massacre possède aujourd'hui un mémorial pourles victimes et un musée avec des images horribles. Un circuit pédestremène le visiteur vers le fossé qui était rempli de sang et de corps en1968, et le cocotier criblé de balles témoignant de la tuerie. Aupremier semestre 2010, 70.000 visiteurs dont près de 20.000 étrangerss'y sont rendus.-AVI

Prendre soin des personnes ayant contribué à la révolution est un impératif du cœur, selon le chef du Parti
Le secrétaire général du Parti, To Lam, a souligné que prendre soin de ceux qui ont rendu des services à la nation et à la révolution n’est pas seulement une grande politique, mais aussi un impératif du cœur, et un devoir politique et moral de l’ensemble du système politique et de la société.