Aujourd’hui,le Vietnam est l’un des 15 premiers fournisseurs de produits agricolesdes Etats-Unis tels que café, riz, noix de cajou, poivre, et thé. LeJapon est son 3e client, notamment de fruits et légumes, et de café…D’autres pays que comme le Mexique, l’Australie, le Chili, la Malaisie…sont également de grands importateurs de produits vietnamiens : noix decajou, riz, café, poivre, légumes et fruits…
Une fois leTPP en vigueur, le chiffre d’affaires à l’exportation de ces produitsdevrait doubler. Simultanément, ce secteur devra faire face à plusieursdéfis, dont une âpre concurrence avec les produits agricoles identiquesou similaires des autres parties au TPP.
Par rapport à cesdernières, le Vietnam a des avantages en termes de produits comme lecafé, les produits aquatiques, le riz, la noix de cajou, le poivre, lethé, les fruits et les légumes… Cependant, plusieurs autres produits nebénéficient pas d’avantages comparatifs : coton, aliments pour animaux,certains fruits, huiles végétales… et beaucoup d’importations sont àattendre. En effet, par exemple, la taxe d’importation sur les viandesporcines et bovines des Etats-Unis, du Danemark et de l’Australie, serasupprimée, ce qui posera un challenge d’importance au secteur vietnamiende l’élevage dont les exploitations sont, pour l’essentiel, de petitetaille.
Raison pour laquelle, dès ce moment, l’agriculturedu Vietnam doit se réformer pour élever sa compétitivité, a souligné M.Truong Dinh Tuyen, ancien ministre du commerce du Vietnam.
"Ilest nécessaire d’appliquer des technologies modernes à la productionagricole et à l’élevage afin d’obtenir des produits de haute qualité etplus grande valeur économique, répondant aux normes techniques etd’hygiène des autres pays. Il faudra également prendre des mesures afind’encourager l’investissement étranger comme vietnamien dans cessecteurs", a-t-il fait remarquer. -VNA/CPV
La lutte contre la pêche INN placée sous le signe de la responsabilité
Dans le cadre de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée, le Premier ministre a demandé aux ministères et secteurs de renforcer la discipline des rapports périodiques, en appliquant strictement le principe des « six clarifications » afin d’assurer la transparence, la responsabilité et l’efficacité des actions engagées.
