Retour de plus de 400 toxicomanes au centre de rééducation de Dông Nai

Plus de 400 toxicomanes sont retournés lundi après-midi 24 octobre au centre de rééducation de la province de Dông Nai (Sud), un jour après l'avoir quitté.

Dông Nai (VNA) - Plus de 400 toxicomanes sont retournés lundi après-midi 24 octobre au ​Centre de rééducation de la province de Dông Nai (Sud) où ils recevaient un traitement, un jour après l'avoir quitté.

Retour de plus de 400 toxicomanes au centre de rééducation de Dông Nai ảnh 1Centre de rééducation de la province de Dông Nai. Photo: vnExpress

Lors d'une réunion le 24 octobre avec des services, secteurs et autorités locaux, le directeur adjoint du Service du Travail, des Invalides et des Affaires de Dông Nai, Hô Van Lôc a rapporté qu’à 17h00 le 24 octobre, 406 fugueurs étaient retournés au centre, tandis qu'environ 160 autres étaient toujours en cavale.

Hô Van Lôc a affirmé que la surcharge ​du centre a été parmi les raisons pour lesquelles les toxicomanes voulaient sortir. Beaucoup d'entre eux ont été stressés par le traitement. Selon lui, le centre a été construit pour accueillir 800 personnes, mais à l'heure actuelle, elles sont près de 1.500.

En outre, un certain nombre de nouveaux arrivants avaient incité les toxicomanes à s'enfuir de l'établissement.

La vice-présidente du Comité populaire provincial Nguyên Hoa Hiêp a déclaré que la province fournira des fonds pour réparer les infrastructures. À long terme, la province injectera 15 milliards de dôngs pour étendre et améliorer les conditions de vie et de traitement des pensionnaires.

Vers 22h30 le 23 octobre, plus de 560​ pensionnaires du ​​Centre de rééducation de Dông Nai s'étaient enfuis. Beaucoup ont ​emprunté à pied ​la Nationale 1A, bloquant la circulation. - VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.