Remise d'un premier lot d'aides aux sinistrés japonais

L'ambassadeur du Vietnam au Japon, Nguyen Phu Binh, a remis jeudi huit tonnes de produits d'une valeur totale de 150.000 dollars au Secrétaire d'Etat aux Affaires Étrangères du Japon, Yutaka Banno, afin de soutenir les sinistrés du séisme et du tsunami du 11 mars dernier.
L'ambassadeur du Vietnam au Japon, Nguyen PhuBinh, a remis jeudi huit tonnes de produits d'une valeur totale de150.000 dollars au Secrétaire d'Etat aux Affaires Étrangères du Japon,Yutaka Banno, afin de soutenir les sinistrés du séisme et du tsunami du11 mars dernier.

Yutaka Banno a remercié le gouvernement et le peuple du Vietnam pour ceprécieux soutien, et a exprimé le souhait que les relations departenariat stratégique entre les deux pays se développent davantage.

Au nom du gouvernement et du peuple du Vietnam, l'ambassadeur NguyenPhu Binh a partagé les difficultés et pertes du peuple japonais ensuite de ces catastrophes naturelles.

Toujours selonlui, et outre l'aide de 200.000 dollars de son gouvernement, denombreuses organisations et particuliers vietnamiens continuent lesoutien aux sinistrés, la seule Croix-Rouge vietnamienne ayant réuni121 milliards de dongs de dons. - AVI

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.