Ouverture d'un espace de lecture original à Hanoi

Un espace de lecture vient d'être inauguré à Hanoi, aux 313 et 315 rue Bach Mai. Avec un style original, ce salon de neuf étages de la société Tan Viet peut satisfaire les lecteurs de différents âge, surtout les enfants.
Un espace de lecturevient d'être inauguré à Hanoi, aux 313 et 315 rue Bach Mai. Avec unstyle original, ce salon de neuf étages de la société Tan Viet peutsatisfaire les lecteurs de différents âge, surtout les enfants.

Il s'agit de la 23e librairie Tan Viet dans le pays. Elle propose desdizaines de milliers de livres de différentes catégories, ainsi que desfournitures de bureau, jouets et objets souvenirs.

Lesalon dispose en outre d'un jardin de 200 m² où les enfants peuventjouer. Les adultes, eux, peuvent lire tranquillement dans l'espacecafé-livres au 8e étage. Cet espace est aussi un lieu de rendez-vousentre écrivains et lecteurs pour présenter de nouveaux livres.

A l'occasion de l'inauguration, Tan Viet offre des réductions de 10 à 20 % sur tous ses livres, et ce du 16 au 30 novembre.-VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.