L’atelier, organisé dans la ville deDà Nang (Centre) par l’Office des Nations unies contre la drogue et lecrime (ONUDC) et le ministère de la Sécurité publique, est la premièreétape des activités visant à renforcer la capacité des institutsspécialisés dans la prévention du crime et la justice pénale.
"Au cours de cet atelier de formation , nous allons examiner lesRègles de Bangkok pour accroître la compréhension des normesinternationales », a déclaré Mme Piera Barzanò, officier de l’ONUDC .
Cet événement est une réelle opportunité pour discuter activementcomment intégrer les droits des femmes dans les activités degestion des prisons , a-t-elle ajouté .
Barzanò a ditqu’elle apprécie hautement la coopération entre le ministère de laSécurité publique et l’ONUDC en matière de prévention du VIH , detraitement et de soins dans les prisons , et de lutte contre laviolence à caractère sexiste, la corruption , la cybercriminalité etla traite humaine .
Elle a indiqué que l’ONUDC vaassister le ministère dans la mise en œuvre des projetsexistants et le développement de nouveaux projets relatifs à la luttecontre le terrorisme , la corruption, le blanchiment d’argent, lacriminalité environnementale et la criminalité liée aux technologies depointe .
Nguyên Van Ninh , directeurgénéral adjoint du Département général d’exécution des jugementspénaux et d’assistance judiciaire, a déclaré que le Vietnam aprogressé dans la mise en œuvre de la réforme pénitentiaire et leministère a travaillé avec l’Union des femmes vietnamiennes aurenforcement de la capacité du personnel pénitentiaire dans letraitement des femmes détenues .
Le responsable a ajoutéque les femmes ont des besoins différents quand elles sontincarcérées . Cela comprend les besoins de soins et d’hygiènepré- et post -natale et une compréhension qu'ils sontfournisseurs de soins primaires .
Il a ajouté que les femmesont des besoins différents quand ils sont emprisonnés . Celacomprend les besoins de soins et d'hygiène pré et post -nataleet une compréhension qu’elles assument la principale responsabilitéet les soins de leurs enfants.
Les Règles desNations unies concernant le traitement des détenues et l’imposition demesures non privatives de liberté aux délinquantes , également connuessous le nom de Règles de Bangkok, ont été adoptées en décembre 2010 parl’Assemblée générale des Nations unies.
Ellesviennent compléter, étendre et concrétiser, entre autres, deux ensemblesde règles minima de l’ONU: celles pour le traitement des détenus etcelles pour l’élaboration de mesures non privatives de liberté (Règlesde Tokyo), et ce en prenant en compte spécifiquement les besoins desfemmes.
Elles mettent en évidence les besoinsspécifiques des femmes et soulignent la nécessité de mettre sur pied,également dans le contexte des établissements de détention, des règlessensibles au genre. Il s’agit par exemple des infrastructuressanitaires, de l’accompagnement médical, psychologique et psychiatrique,des contacts avec la famille et avec le monde extérieur ainsi que de laréinsertion après la libération. – VNA

Près de 549 000 milliards de dôngs consacrés à la garantie du bien-être social au premier semestre
Au cours des six premiers mois de 2025, le Vietnam a consacré près de 549 000 milliards de dôngs (21,11 milliards de dollars) au bien-être social, notamment en faveur des personnes méritantes de la Révolution, des bénéficiaires de l'aide sociale et de la politique sociale.