Hanoï (VNA) - Cette année, Reporters sans frontières (RSF) a une nouvelle fois donné des évaluations peu objectives et dépourvues de tous fondements en qualifiant le Vietnam de pays avec « peu de liberté de la presse ».
Il faut affirmer que l'État vietnamien s’intéresse toujours à la protection et à la promotion des droits de l’homme fondamentaux, dont la liberté d'expression, la liberté de la presse et le droit d'accès à l'information. Ceci est spécifié dans la Constitution et les documents juridiques, et est mis en œuvre dans la vie politique et socioéconomique du Vietnam.
Garantir la liberté d'expression et la liberté de la presse dans le cadre de la loi est une politique constante du Parti et de l'État. Depuis des années, l'État s’efforce de perfectionner le cadre juridique afin de faciliter la promotion et la protection de la liberté d'expression.
Les dispositions de la Loi sur la presse amendée de 2016 et de la Loi sur l'accès à l'information de 2016 sont juridiquement compatibles avec les documents internationaux sur les droits de l'homme, la liberté d'expression et la liberté de la presse. Malheureusement, RSF a délibérément ignoré les documents juridiques mis en œuvre depuis de nombreuses années au Vietnam.
En outre, la liberté d'expression, la liberté de la presse et la liberté d'information au Vietnam sont clairement démontrées à travers le développement diversifié des types de presse et la richesse des contenus. Actuellement, le Vietnam compte environ 41 000 personnes engagées dans le journalisme, 779 organes de presse, 72 agences autorisées à développer la radio et la télévision avec un total de 87 chaînes radio et 193 de télévision.
En même temps, les grands médias internationaux telles que CNN, BBC, TV5, NHK, DW, Australia Network, KBS, Bloomberg..., sont facilement accessibles au Vietnam.
Un fait indéniable pour affirmer la liberté d'information et la liberté de la presse au Vietnam, c’est que les médias internationaux, lorsqu'ils parlent des "recettes" qui ont permis au Vietnam de contrôler efficacement les vagues épidémiques en 2020, ont mentionné à plusieurs reprises des « informations transparentes et claires ». De nombreux journaux étrangers ont également apprécié l'utilisation efficace des réseaux sociaux et des technologies de l'information par le gouvernement vietnamien dans la lutte contre la pandémie.
Le journaliste David Hutt spécialisé dans la politique en Asie du Sud-Est a affirmé que dès l’apparition du COVID-19, le Parti et l'État du Vietnam ont été très transparents et ouverts dans le partage et la mise à jour des données sur la situation épidémique. C'est l'une des raisons pour lesquelles les Vietnamiens font confiance aux mesures antiépidémiques gouvernementales.
RSF a également délibérément ignoré le fait que le Vietnam est l'un des pays ayant les taux de croissance et d'utilisation d'Internet les plus élevés au monde avec plus de 68 millions d'internautes (soit 70 % de sa population).
L'exercice du droit à la liberté d'Internet et des réseaux sociaux est toujours placé dans le cadre légal, pour assurer la cybersécurité, prévenir et empêcher les abus violant la loi vietnamienne.
Au Vietnam, seuls ceux qui profitent de la liberté d'expression et de la liberté de la presse pour porter atteinte aux intérêts de l'État, aux droits et intérêts légitimes d'organisations et d'individus, violer la loi…, sont punis conformément à la loi. Cela est conforme au droit international et identique aux lois de nombreux pays.
De toute évidence, la garantie de la liberté d'expression et de la liberté de la presse au Vietnam est une réalité objective que personne ne peut nier. RSF a délibérément nié les efforts du Parti et de l'État dans ce domaine, ce qui a abouti à des évaluations fausses et irrationnelles.
Les allégations de RSF montrent que cette organisation utilise des ruses pour déformer la vérité sur la situation de la liberté de la presse au Vietnam, avec de mauvaises intentions. C'est RSF qui va à l'encontre du principe selon lequel les journalistes doivent respecter la vérité.-VNA