Beaucoup de groupes et de compagnies générales étatiquescontinuent d'enregistrer une croissance tant en termes d'envergure, derecettes que de profits, leur permettant d'augmenter les revenus deleurs travailleurs et de déployer de nombreuses politiques sociales.
Cependant, les membres du gouvernement et les participants ontestimé qu'il restait encore des faiblesses tels que la croissanceplutôt faible comparée aux sociétés privées, l'augmentationinsuffisante de la productivité, des compétences de gestion desdirigeants...
Le Premier ministre, au nom du gouvernement, a particulièrementapprécié les efforts des groupes et compagnies générales publiques pourbien appliquer les directives du Parti et du gouvernement, ce qui leura permis d'accomplir leurs tâches et, notamment, de contribuer l'annéedernière aux bons résultats socioéconomiques du pays.
Brossant un tableau de la situation socioéconomique en 2009, lechef du gouvernement a estimé qu'en dépit des difficultés et épreuves,les entreprises nationales sont parvenues à maintenir la stabilitémacroéconomique et à réaliser une croissance de 5,3%. Parmi elles, lesgroupes et compagnies générales publiques ont contribué à 42% du PIBnational, et ont été très actives sur le front du bien-être social.
En effet, les groupes et compagnies générales publiques, a-t-ilindiqué, se sont intéressés non seulement aux emplois et aux revenus deleurs travailleurs, mais encore ont aidé, de concert avec legouvernement, les 62 districts les plus démunis du pays. Ils ont aussifournit de l'électricité à des familles démunies, assuré des revenusstables aux riziculteurs, aux planteurs de caféier, d'hévéa... On peutdire que les responsables des entreprises publiques ont fait preuvel'an passé de plus de maturité dans la direction et l'intégration.
Sur les tâches de ces compagnies générales en 2010, le chef dugouvernement a souligné que l'accomplissement du plan d'une croissancemoyenne de 6,5% dépendait beaucoup de leurs contributions pour assurerla stabilisation macroéconomique et prévenir le retour de l'inflationgalopante.
Ainsi, selon le Premier ministre, elles devront atteindre une croissance de 10%. - AVI