Le Vietnam participe à la 312e session du Conseil d'administration du BIT

Le Vietnam a participé à la 312e session du Conseil d'administration du Bureau international du Travail (BIT qui est le secrétariat permanent de l'OIT) qui a eu lieu du 3 au 18 novembre à Genève, en Suisse.

Le Vietnam a participé à la 312e session duConseil d'administration du Bureau international du Travail (BIT quiest le secrétariat permanent de l'OIT) qui a eu lieu du 3 au 18novembre à Genève, en Suisse.

Le Vietnam, en tant que membre officiel du Conseil d'administration(organe exécutif de l'OIT), coordinateur de l'ASEAN et membre du groupedes pays d'Asie-Pacifique, a exposé ses positions dans plusieursdomaines.

Les représentants de la délégation permanentedu Vietnam auprès de l'ONU, de l'Organisation mondiale du Commerce(OMC) et d'autres organisations internationales ont discuté de septdossiers que sont les règles de l'élection du directeur général del'OIT (organisation internationale du Travail), le perfectionnement desfonctions et des activités de la Conférence internationale de l'OIT, lapromotion des relations politiques, le développement des capacités despartenaires des programmes nationaux d'emploi durable, la coopérationtechnique, la gestion et l'inspection du travail, et enfin, lesproblèmes du travail forcé au Myanmar.

Cet événement aréuni plus de 200 participants que sont des représentantsgouvernementaux, des travailleurs et des employeurs. Ils ont discuté dela mise en oeuvre de la Résolution de la Conférence internationale del'OIT et de l'agenda de 2011-2013 de l'OIT. Ils ont par ailleursréévalué les normes internationales du travail, abordé la réforme de laConférence internationale de l'OIT et d'autres activités de l'OIT. -AVI

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.