Levice-ministre des Sciences et de la Technologie, Houmphanh Intharath, adéclaré lors d’un récent atelier international à Vientiane sur lessources d'énergie alternatives que le Laos étudiera le potentiel natureldu pays pour produire de l'énergie alternative et renouvelable tout enexhortant la communauté internationale à unir ses forces à sondéveloppement, a rapporté l’Agence de presse lao (KPL).
«L'énergie renouvelable deviendra une partie importante de la sécuritéénergétique nationale et la protection de l'environnement, nous nousfélicitons de la participation et de l'aide de toutes les partiesprenantes dans le développement des énergies renouvelables, y comprisl'utilisation des déchets», a-t-il souligné.
Levice-ministre Houmphanh Intharath a encore indiqué que le développementdes énergies alternatives sera bénéfique à tous les pays membres de laZone d’innovation des sciences de l’Asie de l'Est (E-Asie).
Bien que le Laos manque de ressources énergétiques conventionnellescomme le pétrole ou le gaz naturel, le pays possède des réserves dehouille et de lignite et des sources d'énergie alternative abondantestelles que la biomasse, l'hydroélectricité et l'énergie solairedisponible. En outre, dans certaines parties du pays, il existe unpotentiel pour le développement de l'énergie éolienne et géothermique.
La consommation nationale d’électricité a été de1.670,48 millions de kW/h, a encore fait savoir la KPL citant leschiffres communiqués lors d’une récente réunion-bilan sur la mise enœuvre de ce secteur au cours des six premiers mois et le lancement d’unplan pour les six derniers mois de l’année 2013.
Àce jour, le Laos compte 21 barrages hydroélectriques qui ont unecapacité installée de 2.973,16 MW. Ils ont pu produire 754,68 millionsde kW/h dont 6,01millions par l’Entreprise publique de l’électricité duLaos (EDL). Par contre, l’EDL a dû acheter 2.025,25 millions de kW/h eten a revendu 144,84 millions de Kw/h à l’étranger. – VNA
Établir une base technologique solide pour le Centre financier international
Ho Chi Minh-Ville se fixe pour objectif de devenir, d’ici 2030, un pôle régional de premier plan en matière de science, de technologie et d’innovation, tout en édifiant un écosystème suffisamment robuste pour permettre au Centre financier international de fonctionner sur la base des données ouvertes, des actifs numériques transparents et des flux de technologies financières (fintech).