Le Parti et l'Etat vietnamiens accordent toujoursune priorité aux enfants, et plus particulièrement à ceux endifficultés.
C'est ce qu'a affirmé le président Nguyen Minh Triet lors d'unerencontre mardi à Hanoi avec 55 enfants en situation particulièrementdifficile de 11 provinces du pays à l'occasion de la Journéeinternationale des enfants (1er juin).
Nguyen Minh Trieta fait l'éloge de ces enfants qui ont eu de brillants résultats dansleurs études en dépit de toutes leurs difficultés, avant de souhaiterqu'ils continuent de faire des efforts afin d'être dignes de bénéficierde l'intérêt du Parti, de l'Etat, des branches, de la société et deleur famille.
Il s'est également félicité du Fonds depatronage des enfants du Vietnam qui a, lors de ces 19 dernièresannées, accordé de multiples aides sous diverses formes à des millionsd'enfants en difficultés.
Il a demandé aux ministères etbranches, notamment au ministère du Travail, des Invalides de guerre etdes Affaires sociales, ainsi qu'au Fonds de patronage des enfants duVietnam, aux entreprises et, plus généralement, à toute la société, derenforcer les activités de protection et de soins de ces enfants, ainsique d'accorder une attention particulière à ceux vivant dans les zonesreculées et lointaines.
Le président Nguyen Minh Triet a également offert des cadeaux à ces 55 enfants.
Par la même occasion, un forum intitulé ''Laisser les enfants parler"destiné aux élèves issus des ethnies minoritaires de la province deNinh Thuan (Centre) est organisé mardi et mercredi sous les auspices duservice provincial de l'éducation et de la formation et le Fonds desNations Unies pour l'enfance (UNICEF).
Il s'agit d'unebonne occasion pour une centaine d'enfants des ethnies de 20 écolesprimaires et secondaires de Ninh Thuan d'exprimer leurs rêves sur lavie et leurs études, ainsi que d'avancer des propositions en ce domaineaux autorités de tous échelons. -AVI
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L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.
