Bangkok (VNA) - La Thaïlande va interdire l’importation, la production et la vente de produits cosmétiques contenant des microbilles de plastique, à compter du 1er janvier 2020, a annoncé mardi 24 décembre le ministère thaïlandais de la Santé.
Dans une annonce publiée dans la Gazette royale, le ministère a déclaré que les microbilles en plastique, qui sont utilisées dans les produits à rincer tels que les gommages pour le visage, ne se dégradent pas avec le temps dans l’eau ou dans l’environnement.
En raison de leur petite taille, les billes sphériques, utilisées comme exfoliants, sont ensuite rejetées dans les égouts, passent souvent à travers le système de traitement des eaux usées et finissent dans la mer, a noté le ministère.
Le Royaume-Uni, par exemple, a interdit l’utilisation de microbilles en plastique dans la production de cosmétiques et de produits de soin personnel en 2018, par souci de leur impact sur la vie marine, a-t-il expliqué.
Chaque seconde, 100 tonnes de déchets (sur les 4 milliards produites annuellement) finissent en mer, dont une grande partie est constituée de matières plastique. Certains n’hésitent pas à parler de «septième continent». Objets flottants ou microparticules, ces déchets plastique se déposent sur les plages, se dispersent en mer, se retrouvent sur les fonds marins.
Dans une annonce publiée dans la Gazette royale, le ministère a déclaré que les microbilles en plastique, qui sont utilisées dans les produits à rincer tels que les gommages pour le visage, ne se dégradent pas avec le temps dans l’eau ou dans l’environnement.
En raison de leur petite taille, les billes sphériques, utilisées comme exfoliants, sont ensuite rejetées dans les égouts, passent souvent à travers le système de traitement des eaux usées et finissent dans la mer, a noté le ministère.
Le Royaume-Uni, par exemple, a interdit l’utilisation de microbilles en plastique dans la production de cosmétiques et de produits de soin personnel en 2018, par souci de leur impact sur la vie marine, a-t-il expliqué.
Chaque seconde, 100 tonnes de déchets (sur les 4 milliards produites annuellement) finissent en mer, dont une grande partie est constituée de matières plastique. Certains n’hésitent pas à parler de «septième continent». Objets flottants ou microparticules, ces déchets plastique se déposent sur les plages, se dispersent en mer, se retrouvent sur les fonds marins.
La pollution plastique, en particulier dans les rivières, les lacs, les canaux et les océans, constitue une grave menace pour l’écosystème mondial car elle est nocive pour la vie des espèces marines et d’eau douce et nuit à la beauté des plages.
Les plastiques entrent dans la chaîne alimentaire lorsqu’ils se dégradent, affectant gravement la santé humaine. Une étude du Fonds mondial pour la nature (WWF) révèle qu’en moyenne chaque personne pourrait ingérer environ 5 grammes de plastique chaque semaine, ce qui équivaut au poids équivalent d’une carte de crédit. – VNA
Les plastiques entrent dans la chaîne alimentaire lorsqu’ils se dégradent, affectant gravement la santé humaine. Une étude du Fonds mondial pour la nature (WWF) révèle qu’en moyenne chaque personne pourrait ingérer environ 5 grammes de plastique chaque semaine, ce qui équivaut au poids équivalent d’une carte de crédit. – VNA