Lesreprésentants des administrations locales et les diplomates ont échangédes informations sur des mécanismes, politiques et tendances de l’exportdu Vietnam puis actualisé les évolutions intervenues sur ces marchés.
Selon Mme Nguyên Thi Hông, vice-présidente du Comitépopulaire de Ho Chi Minh-Ville, cette dernière localité ne règle passeulement les difficultés de ses entreprises mais cherche aussi àprendre ses propres solutions de soutien de leurs activités.
A présent, les entreprises vietnamiennes ont des difficultés àdévelopper leurs débouchés à l'étranger au moment où presque tous lesprincipaux marchés du Vietnam comme les Etats-Unis, l'Union européenne(UE), le Japon… connaissent des problèmes économiques avec leralentissement de l'économie américaine, la crise de la dette publiqueen UE ou la stagnation de la croissance japonaise. A cela s’ajoute lamontée de tendances protectionnistes par plusieurs pays et territoiresen jouant sur les parités de taux de change ou, pire, en pratiquant despolitiques commerciales déloyales.
M. Nguyên TrungDung, conseiller au commerce de l'ambassade du Vietnam au Japon, apréconisé de susciter l'investissement japonais dans les secteurs del'agroalimentaire, de la sylviculture et de la transformation deproduits aquatiques afin de profiter de ses avantages sur le plantechnologique et de réduire les exportations de produits bruts. Parailleurs, la simplification des procédures à l'import-export est pourlui incontournable.
Ho Chi Minh-Ville a ouvert unportail électronique sous la gestion de l’ITPC afin de fournir desinformations actualisées aux entreprises sur les marchés du monde, lesproduits et les nouveaux partenaires. La ville conserve des relationsrégulières avec les services économiques de toutes les ambassadesvietnamiennes. -AVI

Le PM Pham Minh Chinh invite le japonais Marubeni à investir plus au Vietnam
Le Premier ministre Pham Minh Chinh a promis un soutien total aux investisseurs étrangers, notamment japonais, souhaitant opérer au Vietnam, soulignant son engagement en faveur d’une « harmonisation des intérêts et d’un partage des risques ».