Une délégation vietnamienne a participé vendredi au 2e Dialogue de partenariat stratégique Vietnam-Japon.
Elle était dirigée par le vice-ministre des Affaires étrangères (A.E), Ho Xuan Son, et la délégation du Japon par le vice-ministre des AE japonais, Bessho Koro.
Les deux parties ont échangé des points de vue sur les politiques extérieures, de sécurité et de défense de chaque pays ainsi que sur des problèmes régionaux et mondiaux d'intérêt commun. Elles ont avancé des mesures pour resserrer les relations bilatérales, notamment dans la politique, la diplomatie, la sécurité et la défense.
Elles ont insisté sur la nécessité de dynamiser la coopération bilatérale et de mieux se coordonner sur les forums régionaux et internationaux. Elles ont affirmé que ce dialogue avait abouti à de bons résultats et ont convenu que le prochain dialogue se tiendrait au Vietnam, en 2012.
Le vice-ministre Ho Xuan Son a eu le même jour une rencontre avec le ministre adjoint japonais des A.E, Yamaguchi Tsuyoshi. Ce dernier a affirmé que le Japon prenait en haute estime ses relations de partenariat stratégique avec le Vietnam et souhaitait les renforcer.
Yamaguchi Tsuyoshi a salué les résultats de l'actuel dialogue et affirmé que le gouvernement japonais continuerait d'aider le Vietnam dans son oeuvre d'industrialisation et de modernisation.
Ho Xuan Son et Yamaguchi Tsuyoshi se sont accordés pour intensifier et élargir la coopération entre les deux ministères des A.E et leur coordination afin de préparer '' L'année de l'amitié Vietnam-Japon 2013" à l'occasion du 40e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques bilatérales.
Les deux interlocuteurs ont convenu de matérialiser au plus tôt les conventions conclues lors de la récente visite au Japon du Premier ministre Nguyen Tan Dung.-AVI
La Patrie, la terre d’origine suprême de chaque dirigeant
Après avoir achevé le processus de nomination de 100 % des secrétaires des Comités provinciaux et municipaux du Parti n’étant pas originaires de leur localité d’affectation, le Bureau politique et le Secrétariat du Comité central du Parti ont poursuivi cette ligne directrice. Désormais, tous les postes de présidents des Comités populaires, de présidents des Commissions de contrôle et de chefs des Inspections au niveau provincial ne sont plus occupés par des personnes originaires de la localité concernée.