Société

Déploiement d'un projet d'électrification rurale à Nghe An

La compagnie générale d'électricité du Nord (EVNPC) et la compagnie d'électricité de Nghe An ont mis en chantier, le 21 juin dans le district de Ky Son, province de Nghe An (Centre), un projet d'alimentation en électricité en zone rurale.
La compagnie généraled'électricité du Nord (EVNPC) et la compagnie d'électricité de Nghe Anont mis en chantier, le 21 juin dans le district de Ky Son, province deNghe An (Centre), un projet d'alimentation en électricité en zonerurale.

Le projet permettra d'alimenter 233 hameaux etvillages de 54 communes relevant de huit districts montagneux de laprovince de Nghe An: Que Phong, Quy Hop, Thanh Cuong, Quy Chau, Anh Son,Ky Son, Con Cuong, Tuong Duong.

Il représente uninvestissement total de plus de 780 milliards de dôngs, soit environ 36millions de dollars, dont 85% provenant du budget d'Etat ou d'aidepublique au développement (APD), et le reste de l'EVNPC.

Le projet est divisé en deux phases : la première de 2014 à 2016, la seconde de 2016 à 2020.

Ce projet vise à approvisionner en électricité les populations de zonesreculées, en vue d'améliorer leurs conditions de vie. -VNA

Suivez VietnamPlus

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.