L'Agence vietnamienne d'Information (AVI)s'efforcera particulièrement d'apporter sa part au développement del'amitié et de la coopération entre le Parti communiste du Vietnam(PCV) et le Parti du Travail (PT) du Mexique et, plus généralement,entre les deux pays.
C'est ce qu'a souligné le directeur général de l'AVI Tran Mai Huong,lors d'une séance de travail organisée mardi à Hanoi avec le secrétairegénéral du PT du Mexique Alberto Anaya Gutierrez, pour faire le bilande l'application du mémorandum de coopération entre les deux parties,ainsi que pour discuter des orientations de la coopération bilatéralepour le quinquennat 2010-2015.
Tran Mai Huong a remerciéla direction du PT et son secrétaire général pour l'aide conséquentequ'ils ont accordée à l'agence en matière de formation decorrespondants et d'éditeurs, dont l'édition expérimentale de la revue"Bao Anh Viet Nam" (Vietnam illustré) au Mexique.
Il asouligné que l'aide du PT permettra à cette agence de posséder descorrespondants et des éditeurs en espagnol qualifiés connaissant bienla culture mexicaine qui auront un rôle important dans le renforcementà venir des relations entre l'AVI et le PT.
Il a affirméà cette occasion que le développement de relations avec les agences depresse et d'autres partenaires ont une grande place dans la stratégiede développement de l'AVI.
Le secrétaire général AlbertoAnaya Gutierrez a profité de cette occasion pour affirmer que lesleaders du PT feront de leur mieux afin d'accorder de meilleuresopportunités aux correspondants et éditeurs de l'AVI afin qu'ilspuissent venir au Mexique pour améliorer leur compétenceprofessionnelle.
Le PT, a-t-il ajouté, est prêt àdévelopper davantage sa coopération avec l'AVI ainsi que l'assisterdans l'édition au Mexique de la revue "Bao Anh Viet Nam". -AVI
📝 Édito: La "liberté de religion" ne doit pas être politisée
Il est aisé de constater le ton dépassé de ce rapport, fondé sur des arguments non étayés, des préjugés tenaces et des interprétations imposées concernant la liberté de religion au Vietnam. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que les conclusions de l’organisation révèlent de flagrantes lacunes en matière d’objectivité et de méthodologie, soulevant des questions quant aux motivations politiques qui sous-tendent ce qui est présenté comme une évaluation des droits humains.