Après avoir travaillé avec lesdirigeants des chefs-lieux de Di An, Thuan An, Ben Cat et Tan Uyen, ladélégation s'est rendue dans des entreprises pour se renseigner sur lasituation de la production de la province lésées. Elle a ensuite écoutéles avis comme pétitions des entreprises gravement affectées par lesrécents incidents de ces derniers jours.
Les autoritésprovinciales les ont également informées de la mise en oeuvre par BinhDuong de la conclusion du Premier ministre sur le soutien desentreprises vietnamiennes comme étrangères opérant dans cette localité,afin de leur permettre de stabiliser leurs activités de production.
M. Tsai Hun Lie, directeur général de la Compagnie de chaussures ThongDung, a remercié l’Etat vietnamien qui a aidé son entreprise comme lesautres affectées par les troubles à l’ordre public à reprendre leuractivité.
M. Chang Liang Ping, directeur général de laSarl internationale de l’habillement Viet Hsing, a partagé qu'il avaittravaillé pendant 20 ans à Binh Duong et qu'il n'avait aucune inquiétudeconcernant la sécurité et l'ordre public dans cette province. Il aaffirmé que les Vietnamiens étaient amicaux et généreux, et a déclaréque les incidents de ces derniers jours avaient été causés par certainséléments extrémistes.
Le directeur général de laCompagnie de confection BawKer, Chon Chi Waii, installée dans la zoneindustrielle Dong An I, a souligné que le soutien positif du maîtred'ouvrage de la zone industrielle a aidé sa compagnie à revenir à lanormale. Cela permettra de gagner la confiance des investisseurs. "LaCompagnie BawKer continue à opter pour le Vietnam afin d'élargir et dedévelopper la production, car je comprends que la récente affairen'était qu'un acte isolé", a-t-il dit.
Actuellement, laplupart des entreprises affectées par les troubles à l'ordre public ontrouvert leurs ateliers de production. -VNA
Liberté religieuse : le Vietnam récuse les évaluations « non objectives » de l’USCIRF
Le Vietnam a officiellement rejeté ce vendredi 19 décembre les conclusions du dernier rapport de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale (USCIRF), qualifiant les évaluations de l'organisme de « non objectives » et d'« inexactes » par rapport à la réalité du pays.